Cette rencontre a regroupé environ 350 personnes (ministres, décideurs du secteur public et privé, représentants d’organisations internationales et régionales, responsables statistiques nationaux, universitaires et société civile) sur 3 jours pour discuter des défis et nouveautés sur le continent africain en matière de mesure du bien-être et du progrès des sociétés ; ainsi que des moyens d’améliorer l’analyse, la mise en place et l’évaluation des politiques publiques ; et enfin, d’établir des cadres directeurs pour de futurs travaux dans ce domaine.
En outre, la conférence qui a été organisée en étroite collaboration avec le Partenariat statistique au service du développement à l'aube du 21e siècle (PARIS21), la Banque africaine de développement (BAD) et la Commission économique pour l'Afrique des Nations Unies (CEA), a permis de discuter des défis auxquels fait face le continent africain en matière de production statistique et de mesure.
En effet, plusieurs tables rondes de haut niveau auxquelles ont pris part des ministres, des responsables d’organisations internationales et d’agences nationales de statistiques africaines ont permis de débattre de manière franche d’importants enjeux pour le continent notamment : les objectifs du millénaire pour le développement et l’agenda du développement après 2015 ; les défis de la production statistique en Afrique ; et la prise de décision basée sur les preuves.
De manière générale, la conférence a mis l’accent sur l’importance du bien-être pour toutes les sociétés du monde y compris celles en Afrique. Elle a également permis d’entendre la voix et les préoccupations de l’Afrique dans la réflexion et le dialogue sur les nouvelles façons de penser le sujet de la mesure du bien-être et du progrès.
Plusieurs des dimensions du bien-être relevées par les précédentes conférences organisées par l’OCDE ont été mises en exergue également par cette conférence. Il s'agit notamment de l’emploi, surtout des jeunes, la santé, l’éducation et la formation, la sécurité, la gouvernance, la famille et la solidarité sociale ainsi que le bien-être subjectif. Certaines dimensions semblent être particulièrement importantes dans le contexte africain, il s'agit notamment de la pauvreté, des inégalités et des conditions de vie.
Enfin, la conférence a aussi permis de faire le constat de la nécessité de renforcer les capacités des systèmes statistiques en Afrique pour une meilleure production de statistiques officielles indépendants et crédibles. Ainsi, une meilleure coordination à différents niveaux, notamment régional, national et intra-national, ainsi qu’avec les autres partenaires, a été préconisée.
Dans ce cadre, un réseau africain sur la mesure du bien-être et du progrès sera mis en place en collaboration entre le Haut-commissariat au Plan et la Commission Economique pour l’Afrique.
Les conclusions de cette conférence régionale qui représentent la contribution Africaine au 4e Forum mondial de l'OCDE, qui se tiendra à New Delhi du 16 au 19 octobre 2012, seront présentées, conjointement, par le HCP et l'OCDE audit forum.
En outre, la conférence qui a été organisée en étroite collaboration avec le Partenariat statistique au service du développement à l'aube du 21e siècle (PARIS21), la Banque africaine de développement (BAD) et la Commission économique pour l'Afrique des Nations Unies (CEA), a permis de discuter des défis auxquels fait face le continent africain en matière de production statistique et de mesure.
En effet, plusieurs tables rondes de haut niveau auxquelles ont pris part des ministres, des responsables d’organisations internationales et d’agences nationales de statistiques africaines ont permis de débattre de manière franche d’importants enjeux pour le continent notamment : les objectifs du millénaire pour le développement et l’agenda du développement après 2015 ; les défis de la production statistique en Afrique ; et la prise de décision basée sur les preuves.
De manière générale, la conférence a mis l’accent sur l’importance du bien-être pour toutes les sociétés du monde y compris celles en Afrique. Elle a également permis d’entendre la voix et les préoccupations de l’Afrique dans la réflexion et le dialogue sur les nouvelles façons de penser le sujet de la mesure du bien-être et du progrès.
Plusieurs des dimensions du bien-être relevées par les précédentes conférences organisées par l’OCDE ont été mises en exergue également par cette conférence. Il s'agit notamment de l’emploi, surtout des jeunes, la santé, l’éducation et la formation, la sécurité, la gouvernance, la famille et la solidarité sociale ainsi que le bien-être subjectif. Certaines dimensions semblent être particulièrement importantes dans le contexte africain, il s'agit notamment de la pauvreté, des inégalités et des conditions de vie.
Enfin, la conférence a aussi permis de faire le constat de la nécessité de renforcer les capacités des systèmes statistiques en Afrique pour une meilleure production de statistiques officielles indépendants et crédibles. Ainsi, une meilleure coordination à différents niveaux, notamment régional, national et intra-national, ainsi qu’avec les autres partenaires, a été préconisée.
Dans ce cadre, un réseau africain sur la mesure du bien-être et du progrès sera mis en place en collaboration entre le Haut-commissariat au Plan et la Commission Economique pour l’Afrique.
Les conclusions de cette conférence régionale qui représentent la contribution Africaine au 4e Forum mondial de l'OCDE, qui se tiendra à New Delhi du 16 au 19 octobre 2012, seront présentées, conjointement, par le HCP et l'OCDE audit forum.
