La situation du marché de travail en 2022 a connu une relative amélioration en milieu urbain et demeure impactée par les effets de la sécheresse en milieu rural.
Avec une création de 150.000 postes d’emploi en milieu urbain et une perte de 174.000 en milieu rural, l’économie nationale a ainsi perdu au total, entre 2021 et 2022, 24.000 postes d’emploi, après avoir perdu 432.000 dans les conditions de la pandémie de Covid en 2020 et créé 230.000 postes en 2021.
Le secteur des services a contribué à la création de 164.000 postes d’emploi, celui de l’"industrie y compris l’artisanat" 28.000 postes, alors que l’"agriculture, forêt et pêche" a détruit 215.000 et les BTP 1.000.
Dans ce contexte, le nombre total de chômeurs a reculé de 66.000 personnes au niveau national, s’établissant à 1.442.000 chômeurs, résultat d’une baisse de 70.000 chômeurs en milieu urbain et d’une hausse de 4.000 en milieu rural.
Le taux de chômage est ainsi passé de 12,3% à 11,8% au niveau national, de 16,9% à 15,8% en milieu urbain et de 5% à 5,2% en milieu rural. Il reste plus élevé parmi les jeunes de 15 à 24 ans (32,7%), les diplômés (18,6%) et les femmes (17,2%).
Le taux d’activité a continué sa baisse enregistrant 44,3% (-0,8 point). Cette baisse est plus prononcée en milieu rural (-1,8 point), passant de 50,9% à 49,1%, qu’en milieu urbain (-0,4 point), passant de 42,3% à 41,9%.
Le volume du sous-emploi est, de son côté, passé, durant la même période, de 1.003.000 à 972.000 personnes au niveau national, de 550.000 à 520.000 en milieu urbain et de 453.000 à 452.000 en milieu rural. Le taux de sous-emploi, qui était de 9,3%, s’est infléchi à 9% au niveau national, de 8,8% à 8,1% en milieu urbain et de 10% à 10,4% en milieu rural.
Avec une création de 150.000 postes d’emploi en milieu urbain et une perte de 174.000 en milieu rural, l’économie nationale a ainsi perdu au total, entre 2021 et 2022, 24.000 postes d’emploi, après avoir perdu 432.000 dans les conditions de la pandémie de Covid en 2020 et créé 230.000 postes en 2021.
Le secteur des services a contribué à la création de 164.000 postes d’emploi, celui de l’"industrie y compris l’artisanat" 28.000 postes, alors que l’"agriculture, forêt et pêche" a détruit 215.000 et les BTP 1.000.
Dans ce contexte, le nombre total de chômeurs a reculé de 66.000 personnes au niveau national, s’établissant à 1.442.000 chômeurs, résultat d’une baisse de 70.000 chômeurs en milieu urbain et d’une hausse de 4.000 en milieu rural.
Le taux de chômage est ainsi passé de 12,3% à 11,8% au niveau national, de 16,9% à 15,8% en milieu urbain et de 5% à 5,2% en milieu rural. Il reste plus élevé parmi les jeunes de 15 à 24 ans (32,7%), les diplômés (18,6%) et les femmes (17,2%).
Le taux d’activité a continué sa baisse enregistrant 44,3% (-0,8 point). Cette baisse est plus prononcée en milieu rural (-1,8 point), passant de 50,9% à 49,1%, qu’en milieu urbain (-0,4 point), passant de 42,3% à 41,9%.
Le volume du sous-emploi est, de son côté, passé, durant la même période, de 1.003.000 à 972.000 personnes au niveau national, de 550.000 à 520.000 en milieu urbain et de 453.000 à 452.000 en milieu rural. Le taux de sous-emploi, qui était de 9,3%, s’est infléchi à 9% au niveau national, de 8,8% à 8,1% en milieu urbain et de 10% à 10,4% en milieu rural.