Ces comptes sont donnés à un niveau agrégé des nomenclatures, en raison du caractère provisoire des informations disponibles au moment de leur élaboration.
Rappelons à cet égard, comme le veut la pratique internationale, que les comptes nationaux, élaborés au cours de l’année (n), sont réputés «provisoires» quand ils concernent l’année (n-1), «semi définitifs» pour l’année (n-2) et «définitifs» pour l’année (n-3).
Il ressort de ces comptes que le taux de croissance économique a atteint 8% en 2006, contre 2,4% en 2005. Cette évolution est le résultat des performances du secteur agricole, dont la valeur ajoutée a progressé de 25%, après une baisse de 13,9% en 2005, des autres secteurs d’activité (pris dans leur ensemble), en hausse de 5%, et des impôts nets des subventions affectant les produits qui ont crû de 12,7%.de12,7%.