Dans un contexte marqué par les effets de la crise internationale sur notre pays, la consommation du tourisme récepteur, qui représente plus de 74% de la consommation intérieure de ce secteur, a baissé de 2,7% en 2008 et de 4,6% en 2009 soulignant un net fléchissement par rapport à son rythme de croissance passé de 12,4% en moyenne annuelle durant la période 2001 – 2007. En comparaison avec la période 2001– 2005 où il était de 9,5%, son taux d’évolution moyen annuel a baissé de 2,7 points passant à 6,8% entre 2005 et 2009.
La valeur ajoutée du tourisme[3], de son côté, a progressé en moyenne annuelle de 7% en valeur entre 2005 et 2009 contre 8,7% entre 2001 et 2005. Avec 40,6 milliards de DH, elle devrait représenter, en 2009, 6,2% de la valeur ajoutée globale de l’économie nationale contre 6,5% en 2005.
Le PIB touristique[1] a, quant à lui, atteint 50 milliards de DH en 2009, affichant une progression annuelle moyenne en valeur de 7,6% au lieu de 9,2% de 2001 à 2005. Sa part dans le PIB a reculé de 0,3 point passant de 7,1% en 2005 à 6,8% en 2009.
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[1] Elaboré à partir des données des comptes nationaux provisoires de 2009 et des résultats de l’enquête du Département du tourisme sur les dépenses touristiques se rapportant à la même année.
[2] Elle comprend la consommation intérieure du tourisme récepteur (touristes non résidents : étrangers et MRE en visite au Maroc) et la consommation du tourisme interne et émetteur (touristes résidents - nationaux et étrangers - séjournant au Maroc en dehors de leur environnement habituel - et ceux qui partent en voyage en dehors du Maroc pour qui les dépenses touristiques prises en compte sont celles réalisées au Maroc).
[3] Valeur issue directement de la production de l’ensemble des activités spécifiques et non spécifiques du tourisme destinée à la satisfaction de la demande touristique.
[4] Valeur ajoutée du tourisme augmentée du montant global des impôts nets des subventions sur les produits liés aux dépenses de consommation intérieure du tourisme.
La valeur ajoutée du tourisme[3], de son côté, a progressé en moyenne annuelle de 7% en valeur entre 2005 et 2009 contre 8,7% entre 2001 et 2005. Avec 40,6 milliards de DH, elle devrait représenter, en 2009, 6,2% de la valeur ajoutée globale de l’économie nationale contre 6,5% en 2005.
Le PIB touristique[1] a, quant à lui, atteint 50 milliards de DH en 2009, affichant une progression annuelle moyenne en valeur de 7,6% au lieu de 9,2% de 2001 à 2005. Sa part dans le PIB a reculé de 0,3 point passant de 7,1% en 2005 à 6,8% en 2009.
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[1] Elaboré à partir des données des comptes nationaux provisoires de 2009 et des résultats de l’enquête du Département du tourisme sur les dépenses touristiques se rapportant à la même année.
[2] Elle comprend la consommation intérieure du tourisme récepteur (touristes non résidents : étrangers et MRE en visite au Maroc) et la consommation du tourisme interne et émetteur (touristes résidents - nationaux et étrangers - séjournant au Maroc en dehors de leur environnement habituel - et ceux qui partent en voyage en dehors du Maroc pour qui les dépenses touristiques prises en compte sont celles réalisées au Maroc).
[3] Valeur issue directement de la production de l’ensemble des activités spécifiques et non spécifiques du tourisme destinée à la satisfaction de la demande touristique.
[4] Valeur ajoutée du tourisme augmentée du montant global des impôts nets des subventions sur les produits liés aux dépenses de consommation intérieure du tourisme.