Aperçu des tendances conjoncturelles
Au troisième trimestre 2024, l’économie nationale aurait connu une croissance de 2,8% en variation annuelle, stimulée par une hausse plus soutenue des exportations et une poursuite du rétablissement de la demande intérieure. Au quatrième trimestre 2024, la croissance du PIB devrait atteindre 2,5%, sur fond d’une modération des activités secondaires et d’une baisse continue des activités primaires.
Légère accélération de l’activité au troisième trimestre 2024
La croissance économique nationale aurait connu une légère accélération de son rythme d’évolution au troisième trimestre 2024, s’établissant à +2,8%, au lieu de +2,4% en moyenne au premier semestre. La résilience de l’économie nationale incomberait, principalement, à la dynamique des activités hors agriculture dont la croissance aurait atteint 3,6% au troisième trimestre 2024, en variation annuelle. L’ensemble des branches secondaires aurait enregistré un regain d’activité, affichant une hausse de 4,4%, contre 3,8% au trimestre précédent. La reprise des industries extractives se serait poursuivie au rythme de 15,4%, stimulée par une augmentation des exportations des produits bruts, notamment le phosphate, dont la production aurait augmenté de 18,9%. Les industries manufacturières auraient été plus dynamiques au troisième trimestre 2024, contribuant à hauteur de 0,2 point à la croissance économique globale. Les branches du textile et certaines filières agroalimentaires auraient bénéficié d'une reprise significative, soutenue par l'augmentation de leurs ventes extérieures. La construction aurait, également, connu une accélération de son rythme de croissance à +4,8%, attribuable à une amélioration conjuguée des activités dans le bâtiment et dans les travaux publics, corroborée par une augmentation de l'utilisation des matériaux de construction. Le secteur des services aurait, pour sa part, montré une croissance modérée de 3,4%, avec des performances soutenues dans le tourisme et le transport, mais un ralentissement dans le commerce et les services financiers.
Dans l’agriculture, l’activité aurait, à l’inverse, enregistré un repli de 4,1% au troisième trimestre 2024, après une contraction de 4% au premier semestre. Cette contreperformance aurait masqué, toutefois, des évolutions contrastées entre les productions végétales et animales. Les récoltes maraîchères de saison se seraient améliorées au troisième trimestre, entraînant une baisse des prix des légumes et une hausse de leurs exportations. En revanche, les autres cultures et l’ensemble des productions animales auraient fléchi, notamment la filière avicole, qui aurait connu une baisse de 3,3% de la production de viande de poulet au troisième trimestre 2024.
Au troisième trimestre 2024, l’économie nationale aurait connu une croissance de 2,8% en variation annuelle, stimulée par une hausse plus soutenue des exportations et une poursuite du rétablissement de la demande intérieure. Au quatrième trimestre 2024, la croissance du PIB devrait atteindre 2,5%, sur fond d’une modération des activités secondaires et d’une baisse continue des activités primaires.
Légère accélération de l’activité au troisième trimestre 2024
La croissance économique nationale aurait connu une légère accélération de son rythme d’évolution au troisième trimestre 2024, s’établissant à +2,8%, au lieu de +2,4% en moyenne au premier semestre. La résilience de l’économie nationale incomberait, principalement, à la dynamique des activités hors agriculture dont la croissance aurait atteint 3,6% au troisième trimestre 2024, en variation annuelle. L’ensemble des branches secondaires aurait enregistré un regain d’activité, affichant une hausse de 4,4%, contre 3,8% au trimestre précédent. La reprise des industries extractives se serait poursuivie au rythme de 15,4%, stimulée par une augmentation des exportations des produits bruts, notamment le phosphate, dont la production aurait augmenté de 18,9%. Les industries manufacturières auraient été plus dynamiques au troisième trimestre 2024, contribuant à hauteur de 0,2 point à la croissance économique globale. Les branches du textile et certaines filières agroalimentaires auraient bénéficié d'une reprise significative, soutenue par l'augmentation de leurs ventes extérieures. La construction aurait, également, connu une accélération de son rythme de croissance à +4,8%, attribuable à une amélioration conjuguée des activités dans le bâtiment et dans les travaux publics, corroborée par une augmentation de l'utilisation des matériaux de construction. Le secteur des services aurait, pour sa part, montré une croissance modérée de 3,4%, avec des performances soutenues dans le tourisme et le transport, mais un ralentissement dans le commerce et les services financiers.
Dans l’agriculture, l’activité aurait, à l’inverse, enregistré un repli de 4,1% au troisième trimestre 2024, après une contraction de 4% au premier semestre. Cette contreperformance aurait masqué, toutefois, des évolutions contrastées entre les productions végétales et animales. Les récoltes maraîchères de saison se seraient améliorées au troisième trimestre, entraînant une baisse des prix des légumes et une hausse de leurs exportations. En revanche, les autres cultures et l’ensemble des productions animales auraient fléchi, notamment la filière avicole, qui aurait connu une baisse de 3,3% de la production de viande de poulet au troisième trimestre 2024.