La croissance économique se serait légèrement accélérée au deuxième trimestre 2022, s’établissant à +0,9%, en rythme annuel, au lieu de +0,3% au trimestre précédent. Ce léger regain aurait été, particulièrement, attribuable à la progression de 3,6% de la valeur ajoutée hors agriculture. La valeur ajoutée agricole aurait, pour sa part, poursuivi son repli au rythme de -16,1% au cours de la même période. Au troisième trimestre 2022, la baisse de la valeur ajoutée agricole s’établirait à -14,1%. Toutefois, avec une hausse de 2,9% de la valeur ajoutée hors agriculture, l’économie nationale s’améliorerait de 0,8%, en variation annuelle, au lieu de +8,7% une année plus tôt.
Essoufflement de la reprise économique mondiale
La reprise de l’économie mondiale, engagée en période post-crise Covid-19, se serait essoufflée au deuxième trimestre 2022. L’activité économique aurait reflué aux Etats-Unis comparativement à la même période de 2021, sous l’effet de la montée des pressions inflationnistes, des perturbations persistantes sur les chaînes de production et de la normalisation de la politique monétaire, alors qu’en zone euro, l’activité aurait sensiblement ralenti, avec le prolongement de la guerre en Ukraine et le renforcement de l’incertitude qui aurait pénalisé la consommation des ménages et induit une baisse de la confiance des entreprises privées, surtout en Allemagne. Dans les pays émergents, l’intensification des pressions inflationnistes aurait entraîné une baisse du pouvoir d’achat des ménages et un resserrement de la politique monétaire qui auraient conduit à un ralentissement de la croissance économique en Inde et au Brésil.
Essoufflement de la reprise économique mondiale
La reprise de l’économie mondiale, engagée en période post-crise Covid-19, se serait essoufflée au deuxième trimestre 2022. L’activité économique aurait reflué aux Etats-Unis comparativement à la même période de 2021, sous l’effet de la montée des pressions inflationnistes, des perturbations persistantes sur les chaînes de production et de la normalisation de la politique monétaire, alors qu’en zone euro, l’activité aurait sensiblement ralenti, avec le prolongement de la guerre en Ukraine et le renforcement de l’incertitude qui aurait pénalisé la consommation des ménages et induit une baisse de la confiance des entreprises privées, surtout en Allemagne. Dans les pays émergents, l’intensification des pressions inflationnistes aurait entraîné une baisse du pouvoir d’achat des ménages et un resserrement de la politique monétaire qui auraient conduit à un ralentissement de la croissance économique en Inde et au Brésil.