La valeur ajoutée des activités hors agriculture aurait, pour sa part, enregistré une hausse de 3,3%, tirée principalement par les mines et les services marchands, notamment le tourisme. La valeur ajoutée du secteur secondaire se serait, ainsi, améliorée de 3,8%, tirée notamment par la dynamique des activités minières et la poursuite du redressement des industries de transformation.
Une conjoncture extérieure favorable au deuxième trimestre 2017
Après plusieurs années de lente reprise et une croissance mondiale la plus faible depuis 2009 (+3%), des signes d’amélioration seraient apparus au début de 2017. La croissance des économies avancées se serait affermie au cours du deuxième trimestre pour atteindre +2%, en rythme annualisé, au lieu de +1,6% un trimestre auparavant. L’économie américaine aurait progressé de 2,8%, au lieu de 1,2% le trimestre précédent, profitant de la reprise des dépenses publiques et de la consommation des ménages. Le raffermissement du marché du travail et l’augmentation du patrimoine des ménages auraient continué d’alimenter la hausse de la consommation (+2,8%), tandis que la reprise des dépenses dans le secteur de l’énergie et le regain de la confiance des entreprises auraient redynamisé l’investissement.
En zone euro, l’activité aurait progressé de 2%, tirée par le renforcement de la demande intérieure, notamment la consommation privée (+2%). L’investissement des entreprises aurait, pour sa part, repris, porté par le redressement des commandes à l’exportation. Les exportations auraient, en effet, connu un accroissement de 4,4%, bénéficiant du raffermissement du commerce mondial et de la dépréciation antérieure de l’euro.
Au Royaume Uni, l’activité aurait continué à tourner au ralenti (+1,2% ), malgré le soutien apporté par une politique monétaire plus accommodante et le report de l’assainissement budgétaire prévu au début de 2017. La dépréciation de la livre sterling aurait, quelque peu, amélioré les perspectives sur les marchés à l’exportation, mais aurait également relancé l’inflation, pesant sur le pouvoir d’achat des ménages et les dé- penses de consommation. Au Japon, la croissance aurait continué à augmenter modérément (+0,8%), sous l’effet conjugué d’un léger assouplissement budgétaire et de la hausse des exportations, en particulier vers les marchés asiatiques.
Dans les pays émergents, le climat conjoncturel aurait continué à s'améliorer, avec le rebond des cours des matières premières et la reprise du commerce mondial. La demande intérieure et la production auraient continué de se redresser, profitant de la vigueur des investissements en infrastructures publiques.
En Chine, la croissance se serait renforcée de 6,8%, au lieu de +5,2% un trimestre plus tôt, portée par la demande intérieure surtout l'investissement en construction et en produits manufacturés. En Russie, l'activité aurait repris, avec la hausse des prix des matières premières, des exportations et de la demande intérieure, alors qu’au Brésil, la sortie de récession se serait confirmée, dans le sillage de la relance de la production industrielle et des exportations et l'amélioration progressive du pouvoir d'achat des ménages.
Une conjoncture extérieure favorable au deuxième trimestre 2017
Après plusieurs années de lente reprise et une croissance mondiale la plus faible depuis 2009 (+3%), des signes d’amélioration seraient apparus au début de 2017. La croissance des économies avancées se serait affermie au cours du deuxième trimestre pour atteindre +2%, en rythme annualisé, au lieu de +1,6% un trimestre auparavant. L’économie américaine aurait progressé de 2,8%, au lieu de 1,2% le trimestre précédent, profitant de la reprise des dépenses publiques et de la consommation des ménages. Le raffermissement du marché du travail et l’augmentation du patrimoine des ménages auraient continué d’alimenter la hausse de la consommation (+2,8%), tandis que la reprise des dépenses dans le secteur de l’énergie et le regain de la confiance des entreprises auraient redynamisé l’investissement.
En zone euro, l’activité aurait progressé de 2%, tirée par le renforcement de la demande intérieure, notamment la consommation privée (+2%). L’investissement des entreprises aurait, pour sa part, repris, porté par le redressement des commandes à l’exportation. Les exportations auraient, en effet, connu un accroissement de 4,4%, bénéficiant du raffermissement du commerce mondial et de la dépréciation antérieure de l’euro.
Au Royaume Uni, l’activité aurait continué à tourner au ralenti (+1,2% ), malgré le soutien apporté par une politique monétaire plus accommodante et le report de l’assainissement budgétaire prévu au début de 2017. La dépréciation de la livre sterling aurait, quelque peu, amélioré les perspectives sur les marchés à l’exportation, mais aurait également relancé l’inflation, pesant sur le pouvoir d’achat des ménages et les dé- penses de consommation. Au Japon, la croissance aurait continué à augmenter modérément (+0,8%), sous l’effet conjugué d’un léger assouplissement budgétaire et de la hausse des exportations, en particulier vers les marchés asiatiques.
Dans les pays émergents, le climat conjoncturel aurait continué à s'améliorer, avec le rebond des cours des matières premières et la reprise du commerce mondial. La demande intérieure et la production auraient continué de se redresser, profitant de la vigueur des investissements en infrastructures publiques.
En Chine, la croissance se serait renforcée de 6,8%, au lieu de +5,2% un trimestre plus tôt, portée par la demande intérieure surtout l'investissement en construction et en produits manufacturés. En Russie, l'activité aurait repris, avec la hausse des prix des matières premières, des exportations et de la demande intérieure, alors qu’au Brésil, la sortie de récession se serait confirmée, dans le sillage de la relance de la production industrielle et des exportations et l'amélioration progressive du pouvoir d'achat des ménages.
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