Nous avons eu, à plusieurs reprises, l’occasion, de relever l’impératif catégorique d’une diversification du tissu productif de notre économie, afin d’améliorer, dans la durée, notre épargne intérieure, par une plus grande distribution d’emplois et de revenus et notre épargne nationale par une offre exportable plus forte et plus compétitive. Nous avions déjà, dès 2012, soulevé cette question, en soulignant, pour la première fois, et en le réitérant, depuis, à chacune des présentations de notre budget économique, que cette diversification était indispensable à un relai par une demande extérieure d’une dimension excessive de la demande intérieure devenue le moteur de notre croissance économique. C’est en cela que nous n’avions cessé de justifier nos appels réitérés à une inflexion de notre modèle de développement que nous présentions comme étant en état d’essoufflement, voire proche de ses limites.
Nous avons réaffirmé l’urgence de cette même problématique dans les conclusions de notre étude sur le rendement du capital physique au Maroc et mis, dans le même but, l’accent sur la nécessité de consolider l’accumulation de l’investissement en l’orientant avec plus de volontarisme vers les secteurs productifs de notre économie. Les mêmes conclusions nous les avons réitérées au cours de nos travaux sur la mesure du capital humain ou encore dans les multiples analyses périodiques sur la situation du marché de l’emploi dans notre pays et ses effets sur la faible valorisation des ressources humaines.
¤ Téléchargez le texte intégral
Nous avons réaffirmé l’urgence de cette même problématique dans les conclusions de notre étude sur le rendement du capital physique au Maroc et mis, dans le même but, l’accent sur la nécessité de consolider l’accumulation de l’investissement en l’orientant avec plus de volontarisme vers les secteurs productifs de notre économie. Les mêmes conclusions nous les avons réitérées au cours de nos travaux sur la mesure du capital humain ou encore dans les multiples analyses périodiques sur la situation du marché de l’emploi dans notre pays et ses effets sur la faible valorisation des ressources humaines.
¤ Téléchargez le texte intégral