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(CPI)2020 الرقم القياسي لأسعار المستهلك لشهر أكتوبر
ارتفاع الرقم القياسي لأسعار المستهلك بنسبة 0.1٪ نتيجة ارتفاع مؤشر الغذاء بنسبة 0.1٪ وركود المؤشر غير الغذائي. ركود مؤشر التضخم الأساسي على مدى شهر واحد وارتفع بنسبة 0.2٪ خلال عام واحد.
ارتفاع الرقم الاستدلالي للاثمان عند استهلاك ب 0.1٪ بسبب ارتفاع الرقم الاستدلالي للمواد الغذائية ب 0.1٪ واستقرار الرقم الاستدلالي للمواد الغذائية. التضخم الأساسي من مؤشر جهته في استقرار خلال، شهر وفي ارتفاع ب 0.2٪ خلال سنة.
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Coût économique de la violence à l’encontre des filles et des femmes : dépenses et perte de revenus des ménages
Dans le cadre de la campagne nationale et internationale de mobilisation pour l'élimination de la violence à l'encontre des femmes, le Haut-Commissariat au Plan présente les résultats relatifs au coût économique de la violence à l’encontre des femmes et des filles à partir de son enquête nationale sur la violence à l’égard des femmes et des hommes de 2019 réalisée, avec l’appui de l’ONU FEMME au Maroc, entre février et juillet 2019.
Les coûts économiques de la violence représentent, une lourde charge aussi bien pour la société, à travers son système de santé, ses services de soutien social, son système judiciaire, ses budgets alloués à l'élaboration de politiques ou de plans d'action pour lutter contre la violence à l'égard des femmes et la perte de la production économique que pour les individus et les ménages à travers leurs dépenses pour accéder aux différents services, la perte de revenus en raison de l’arrêt du travail et l’arrêt de la prise en charge des travaux domestiques non rémunéré.
Les données fournies par l’enquête de 2019 ont permis d’estimer, pour la première fois au Maroc, le coût monétaire de la violence à l’encontre des femmes et des filles, se rapportant spécifiquement aux coûts directs et indirects de cette violence supportés par les individus et leurs ménages dans tous les espaces de vie et pour les formes de violence physique et sexuelle au cours des 12 mois précédant l’enquête.
Les coûts tangibles directs de la violence à l’encontre des femmes et des filles comportent les dépenses effectuées pour accéder aux différents services (Santé, Justice et Police), pour l'hébergement et pour le remplacement des biens endommagés.
Les coûts tangibles indirects se rapportent au coût d’opportunité comprenant la perte de revenus due à l'absentéisme au travail rémunéré, aux travaux domestiques et à l’enseignement.
Le coût économique de la violence est estimé selon l’approche d’estimation du coût de « l’inaction ou du problème » qui évalue les effets de la violence par l’estimation monétaire des différents coûts directs et les coûts indirects supportés par les victimes et les ménages. Cette estimation faite via la méthode comptable consiste en une agrégation des coûts effectués pour accéder aux différents services, des coûts liés à la réparation ou le remplacement des biens détruits, à l'hébergement en cas d'abandon du domicile et des revenus perdus en raison de l’absence au travail ou à l’école et aux travaux domestiques suite à l’incident de violence le plus grave.
Les coûts économiques de la violence représentent, une lourde charge aussi bien pour la société, à travers son système de santé, ses services de soutien social, son système judiciaire, ses budgets alloués à l'élaboration de politiques ou de plans d'action pour lutter contre la violence à l'égard des femmes et la perte de la production économique que pour les individus et les ménages à travers leurs dépenses pour accéder aux différents services, la perte de revenus en raison de l’arrêt du travail et l’arrêt de la prise en charge des travaux domestiques non rémunéré.
Les données fournies par l’enquête de 2019 ont permis d’estimer, pour la première fois au Maroc, le coût monétaire de la violence à l’encontre des femmes et des filles, se rapportant spécifiquement aux coûts directs et indirects de cette violence supportés par les individus et leurs ménages dans tous les espaces de vie et pour les formes de violence physique et sexuelle au cours des 12 mois précédant l’enquête.
Les coûts tangibles directs de la violence à l’encontre des femmes et des filles comportent les dépenses effectuées pour accéder aux différents services (Santé, Justice et Police), pour l'hébergement et pour le remplacement des biens endommagés.
Les coûts tangibles indirects se rapportent au coût d’opportunité comprenant la perte de revenus due à l'absentéisme au travail rémunéré, aux travaux domestiques et à l’enseignement.
Le coût économique de la violence est estimé selon l’approche d’estimation du coût de « l’inaction ou du problème » qui évalue les effets de la violence par l’estimation monétaire des différents coûts directs et les coûts indirects supportés par les victimes et les ménages. Cette estimation faite via la méthode comptable consiste en une agrégation des coûts effectués pour accéder aux différents services, des coûts liés à la réparation ou le remplacement des biens détruits, à l'hébergement en cas d'abandon du domicile et des revenus perdus en raison de l’absence au travail ou à l’école et aux travaux domestiques suite à l’incident de violence le plus grave.
في إطار حملة التعبئة الوطنية والدولية من أجل القضاء على العنف ضد المرأة، تعرض المندوبية السامية للتخطيط النتائج المتعلقة بالتكلفة الاقتصادية للعنف ضد النساء والفتيات الصادرة عن بحثها الوطني حول العنف ضد النساء والرجال الذي تم إنجازه بدعم من منظمة الأمم المتحدة للمرأة بالمغرب خلال الفترة الممتدة بين فبراير ويوليوز 2019.
تشكل التكلفة الاقتصادية للعنف عبئًا ثقيلًا سواء على المجتمع من خلال منظومته الصحية وخدمات الدعم الاجتماعي المتاحة ومنظومته القانونية والميزانيات المخصصة لوضع السياسات أو خطط العمل من أجل مكافحة العنف ضد النساء وفقدان الإنتاج الاقتصادي أو على الأفراد والأسر نتيجة تحملهم النفقات المترتبة عن الولوج إلى مختلف الخدمات وفقدان الدخل بسبب التوقف عن العمل وعن القيام بالأعمال المنزلية غير مدفوعة الأجر.
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Coût social de la violence à l’encontre des filles et des femmes : impacts sur la vie des victimes, de leurs enfants et sur la société
Dans le cadre de la campagne nationale et internationale de mobilisation pour l'élimination de la violence à l'encontre des femmes, le Haut-Commissariat au Plan présente les résultats relatifs au coût social de la violence à l’encontre des femmes et des filles à partir de son enquête nationale sur la violence à l’égard des femmes et des hommes de 2019 réalisée, avec l’appui de l’ONU FEMME au Maroc, entre février et juillet 2019.
La violence à l’encontre des femmes peut avoir de graves conséquences directes et indirectes sur la santé des victimes et sur leur bien-être physique, moral et social. Ses effets, physiques et /ou psychologiques, peuvent porter préjudice à leur qualité de vie, et impacter leurs activités sociales et professionnelles. Outre le vécu personnel de la violence, les répercussions peuvent avoir des effets néfastes sur les enfants des victimes, sur leur famille et sur la société dans son ensemble.
L’étude du coût social de la violence a porté sur la population de filles et de femmes âgées de 15 à 74 ans ayant déclaré avoir eu des expériences de violence physique et/ou sexuelle au cours des 12 derniers mois. Elle est en plus appréciée selon le contexte de violence qu’il soit conjugal, familial, dans les lieux de travail, les lieux d'études et les lieux publics.
La violence à l’encontre des femmes peut avoir de graves conséquences directes et indirectes sur la santé des victimes et sur leur bien-être physique, moral et social. Ses effets, physiques et /ou psychologiques, peuvent porter préjudice à leur qualité de vie, et impacter leurs activités sociales et professionnelles. Outre le vécu personnel de la violence, les répercussions peuvent avoir des effets néfastes sur les enfants des victimes, sur leur famille et sur la société dans son ensemble.
L’étude du coût social de la violence a porté sur la population de filles et de femmes âgées de 15 à 74 ans ayant déclaré avoir eu des expériences de violence physique et/ou sexuelle au cours des 12 derniers mois. Elle est en plus appréciée selon le contexte de violence qu’il soit conjugal, familial, dans les lieux de travail, les lieux d'études et les lieux publics.
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Coût social de la violence à l’encontre des filles et des femmes impacts sur la vie des victimes, de leurs enfants et sur la société (Version française).docx
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Coût social de la violence à l’encontre des filles et des femmes impacts sur la vie des victimes, de leurs enfants et sur la société (Version arabe).docx (39.94 Ko)
Coût social de la violence à l’encontre des filles et des femmes impacts sur la vie des victimes, de leurs enfants et sur la société (Version arabe).docx (39.94 Ko)
La situation du marché du travail au troisième trimestre de 2020
Entre le troisième trimestre de 2019 et la même période de 2020, l’économie nationale a perdu 237.000 postes en milieu urbain et 344.000 en milieu rural, ce qui correspond à une perte de 581.000 postes d’emploi. Une année auparavant, entre le troisième trimestre de 2018 et la même période de 2019, l'économie nationale avait créé 143.000 postes d'emploi
Le secteur des services a perdu 260.000 postes, celui de l’"agriculture, forêt et pêche" 258.000, l’“industrie y compris l'artisanat" 61.000, alors que le secteur des BTP en a créé 1.000.
Avec une hausse de 368.000, dont 276.000 en milieu urbain et 92.000 en milieu rural, le volume global du chômage a atteint 1.482.000 personnes au niveau national.
Le taux de chômage est ainsi passé de 9,4% à 12,7% au niveau national, de 12,7% à 16,5% en milieu urbain et de 4,5% à 6,8% en milieu rural. Il a enregistré une forte hausse parmi les femmes, de 13,9% à 17,6%, parmi les hommes, de 8,0% à 11,4% et parmi les jeunes âgés de 15 à 24 ans, de 26,7% à 32,3%.
La population active occupée en situation de sous-emploi a atteint 1.182.000personnes. Le taux de sous-emploi est passé de 9,1% à 11,6%, au niveau national, de 7,8% à 10,5%en milieu urbain et de 10,8% à 13,3% en milieu rural.
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Compte satellite du tourisme de 2019
L’arrêté du compte satellite du tourisme pour l’année 2019 fait ressortir un ralentissement du taux d’accroissement du produit intérieur brut touristique de 5,9% au lieu de 6,2% en 2018 et une hausse de celui de la consommation intérieure du tourisme de 5,7% au lieu de 5,4%.
C’est ainsi que la consommation intérieure du tourisme s’est établie à 138,3milliards de dirhams en 2019 au lieu de 130,8 milliards en 2018, en augmentation de 5,7%. Cette évolution est le résultat de l’accroissement de la consommation intérieure du :
Compte tenue de l’augmentation de 2,4% des impôts nets de subventions sur les produits touristiques, le PIB du tourisme s’est, au total, accru de 5,9% au lieu de 6,2% l’année précédente, se chiffrant à 81,4 milliards de dirhams en 2019 contre 76,9 milliards en 2018. Sa contribution au PIB national a connu une légère hausse pour se situer à 7,1% en 2019 après 6,9% une année auparavant.
En annexe les tableaux présentant les résultats du compte satellite du tourisme 2019.
- tourisme récepteur de 4,8% au lieu de 5,9% en 2018, passant de 89 milliards de dirhams en 2018 à 93,2 milliards en 2019 ;
- tourisme interne et émetteur de 7,6% au lieu de 4,4%, passant de 41,8 milliards de dirhams en 2018 à 45 milliards en 2019.
- la part du tourisme récepteur dans la consommation intérieure a baissé de 68% en 2018 à 67,4% en 2019, celle du tourisme interne et émetteur s’est accrue de 32% en 2018 à 32,6% en 2019.
- la production du secteur du tourisme s’est située à 122,6 milliards de dirhams en 2019 au lieu de 115,5 milliards en 2018, avec un taux d’accroissement de 6,1%.
- La valeur ajoutée, de son côté, est passée de 61,6 milliards de dirhams en 2018 à 65,8 milliards en 2019 enregistrant ainsi une croissance de 6,8% par rapport à l’année précédente.
Compte tenue de l’augmentation de 2,4% des impôts nets de subventions sur les produits touristiques, le PIB du tourisme s’est, au total, accru de 5,9% au lieu de 6,2% l’année précédente, se chiffrant à 81,4 milliards de dirhams en 2019 contre 76,9 milliards en 2018. Sa contribution au PIB national a connu une légère hausse pour se situer à 7,1% en 2019 après 6,9% une année auparavant.
En annexe les tableaux présentant les résultats du compte satellite du tourisme 2019.
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L’indice des prix à la consommation (IPC) du mois de Septembre 2020
Hausse de 0,3% de l’indice des prix à la consommation, résultant de la hausse de 0,5% de l’indice des produits alimentaires et de 0,3% de l’indice des produits non alimentaires. L’indicateur d’inflation sous-jacente en baisse de 0,1% sur un mois et en hausse de 0,2% sur une année.
L’indice des prix à la consommation a connu, au cours du mois de septembre 2020, une hausse de 0,3% par rapport au mois précédent. Cette variation est le résultat de la hausse de 0,5% de l’indice des produits alimentaires et de 0,3% de l’indice des produits non alimentaires.
Les hausses des produits alimentaires observées entre août et septembre 2020 concernent principalement les «Légumes» avec 3,7%, les «Fruits» avec 2,1%, le «Lait, fromage et œufs » avec 0,8%, les «Viandes» et le «Café, thé et cacao» avec 0,1%. En revanche, les prix ont diminué de 4,7% pour les «Poissons et fruits de mer» et de 0,2% pour les «Huiles et graisses». Pour les produits non alimentaires, la baisse a concerné principalement les prix des «carburants» de 1,0%.
Les hausses les plus importantes de l’IPC ont été enregistrées à Safi et Settat avec 1,4%, à Kénitra, Guelmim et Beni-Mellal avec 0,9%, à Fès et Marrakech avec 0,6%, à Meknès et Errachidia avec 0,5% et à Agadir avec 0,4%. En revanche, des baisses ont été enregistrées à Al-hoceima avec 0,7% et à Tétouan avec 0,5%.
Comparé au même mois de l’année précédente, l’indice des prix à la consommation a enregistré une hausse de 1,4% au cours du mois de septembre 2020 conséquence de la hausse de l’indice des produits alimentaires de 2,9% et de celui des produits non alimentaires de 0,5%. Pour les produits non alimentaires, les variations vont d’une baisse de 1,1% dans les «loisirs et culture» à une hausse de 1,5% dans l’«Enseignement».
Dans ces conditions, l’indicateur d’inflation sous-jacente, qui exclut les produits à prix volatiles et les produits à tarifs publics, aurait connu au cours du mois de septembre 2020 une baisse de 0,1% par rapport au mois d’août 2020 et une hausse de 0,2% par rapport au mois de septembre2019.
Les hausses des produits alimentaires observées entre août et septembre 2020 concernent principalement les «Légumes» avec 3,7%, les «Fruits» avec 2,1%, le «Lait, fromage et œufs » avec 0,8%, les «Viandes» et le «Café, thé et cacao» avec 0,1%. En revanche, les prix ont diminué de 4,7% pour les «Poissons et fruits de mer» et de 0,2% pour les «Huiles et graisses». Pour les produits non alimentaires, la baisse a concerné principalement les prix des «carburants» de 1,0%.
Les hausses les plus importantes de l’IPC ont été enregistrées à Safi et Settat avec 1,4%, à Kénitra, Guelmim et Beni-Mellal avec 0,9%, à Fès et Marrakech avec 0,6%, à Meknès et Errachidia avec 0,5% et à Agadir avec 0,4%. En revanche, des baisses ont été enregistrées à Al-hoceima avec 0,7% et à Tétouan avec 0,5%.
Comparé au même mois de l’année précédente, l’indice des prix à la consommation a enregistré une hausse de 1,4% au cours du mois de septembre 2020 conséquence de la hausse de l’indice des produits alimentaires de 2,9% et de celui des produits non alimentaires de 0,5%. Pour les produits non alimentaires, les variations vont d’une baisse de 1,1% dans les «loisirs et culture» à une hausse de 1,5% dans l’«Enseignement».
Dans ces conditions, l’indicateur d’inflation sous-jacente, qui exclut les produits à prix volatiles et les produits à tarifs publics, aurait connu au cours du mois de septembre 2020 une baisse de 0,1% par rapport au mois d’août 2020 et une hausse de 0,2% par rapport au mois de septembre2019.
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رقم 239 شارع الزرقطوني حي الفطيحات ص.ب :148 –الداخلة
الهاتف :21-81-89-28-05(212+) – الفاكس : 34-80-89-28-05(212+)
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