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Cette note présente la séquence complète des comptes non financiers et financiers de l’année 2019. Il en ressort que :
Le produit intérieur brut (PIB), aux prix courants, a affiché une valeur de 1151,2 milliards de DH en 2019, en augmentation de 3,9% par rapport à 2018 ;
- les sociétés financières et non financières ont créé 43,7% de la richesse nationale et ont disposé de 15,2% du revenu national brut disponible. Elles ont contribué pour 56,3% à l’épargne nationale et pour 55,3% à l’investissement (formation brute du capital fixe);
- les ménages et les institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM) ont produit 29,3% de la richesse nationale et ont disposé de 62,6% du revenu national brut disponible. Ils ont participé à la création de 29,8% de l’épargne nationale et de 26% de l’investissement ;
- Le pouvoir d’achat s’est amélioré de 2,6% dans un contexte de maîtrise de l’inflation.
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comptes_nat_secteurs_institutionnels_annee_2019_fr.doc
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La violence à l’égard des femmes constitue d’une part une des formes de violations des droits humains les plus systématiques et les plus répandues dans le monde et d’autre part, un problème socio-économique qui impacte l’harmonie sociale, la croissance économique et menace les progrès du développement dans leur globalité.
La Manifestation des rapports de pouvoir inégaux entre les femmes et les hommes, constitue l’une des formes extrêmes des discriminations fondées sur le genre et une atteinte à la dignité et aux droits fondamentaux des femmes et des filles.
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La Manifestation des rapports de pouvoir inégaux entre les femmes et les hommes, constitue l’une des formes extrêmes des discriminations fondées sur le genre et une atteinte à la dignité et aux droits fondamentaux des femmes et des filles.
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Note sur les violences faites aux femmes et aux filles (version Française)-1.pdf
(10.98 Mo)
Note sur les violences faites aux femmes et aux filles (version Arabe).pdf (10.8 Mo)
Note sur les violences faites aux femmes et aux filles (version Arabe).pdf (10.8 Mo)
Dans le cadre de la campagne nationale et internationale de mobilisation pour l'élimination de la violence à l'encontre des femmes, le Haut-Commissariat au Plan présente les résultats relatifs au coût économique de la violence à l’encontre des femmes et des filles à partir de son enquête nationale sur la violence à l’égard des femmes et des hommes de 2019 réalisée, avec l’appui de l’ONU FEMME au Maroc, entre février et juillet 2019.
Les coûts économiques de la violence représentent, une lourde charge aussi bien pour la société, à travers son système de santé, ses services de soutien social, son système judiciaire, ses budgets alloués à l'élaboration de politiques ou de plans d'action pour lutter contre la violence à l'égard des femmes et la perte de la production économique que pour les individus et les ménages à travers leurs dépenses pour accéder aux différents services, la perte de revenus en raison de l’arrêt du travail et l’arrêt de la prise en charge des travaux domestiques non rémunéré.
Les données fournies par l’enquête de 2019 ont permis d’estimer, pour la première fois au Maroc, le coût monétaire de la violence à l’encontre des femmes et des filles, se rapportant spécifiquement aux coûts directs et indirects de cette violence supportés par les individus et leurs ménages dans tous les espaces de vie et pour les formes de violence physique et sexuelle au cours des 12 mois précédant l’enquête.
Les coûts tangibles directs de la violence à l’encontre des femmes et des filles comportent les dépenses effectuées pour accéder aux différents services (Santé, Justice et Police), pour l'hébergement et pour le remplacement des biens endommagés.
Les coûts tangibles indirects se rapportent au coût d’opportunité comprenant la perte de revenus due à l'absentéisme au travail rémunéré, aux travaux domestiques et à l’enseignement.
Le coût économique de la violence est estimé selon l’approche d’estimation du coût de « l’inaction ou du problème » qui évalue les effets de la violence par l’estimation monétaire des différents coûts directs et les coûts indirects supportés par les victimes et les ménages. Cette estimation faite via la méthode comptable consiste en une agrégation des coûts effectués pour accéder aux différents services, des coûts liés à la réparation ou le remplacement des biens détruits, à l'hébergement en cas d'abandon du domicile et des revenus perdus en raison de l’absence au travail ou à l’école et aux travaux domestiques suite à l’incident de violence le plus grave.
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Les coûts économiques de la violence représentent, une lourde charge aussi bien pour la société, à travers son système de santé, ses services de soutien social, son système judiciaire, ses budgets alloués à l'élaboration de politiques ou de plans d'action pour lutter contre la violence à l'égard des femmes et la perte de la production économique que pour les individus et les ménages à travers leurs dépenses pour accéder aux différents services, la perte de revenus en raison de l’arrêt du travail et l’arrêt de la prise en charge des travaux domestiques non rémunéré.
Les données fournies par l’enquête de 2019 ont permis d’estimer, pour la première fois au Maroc, le coût monétaire de la violence à l’encontre des femmes et des filles, se rapportant spécifiquement aux coûts directs et indirects de cette violence supportés par les individus et leurs ménages dans tous les espaces de vie et pour les formes de violence physique et sexuelle au cours des 12 mois précédant l’enquête.
Les coûts tangibles directs de la violence à l’encontre des femmes et des filles comportent les dépenses effectuées pour accéder aux différents services (Santé, Justice et Police), pour l'hébergement et pour le remplacement des biens endommagés.
Les coûts tangibles indirects se rapportent au coût d’opportunité comprenant la perte de revenus due à l'absentéisme au travail rémunéré, aux travaux domestiques et à l’enseignement.
Le coût économique de la violence est estimé selon l’approche d’estimation du coût de « l’inaction ou du problème » qui évalue les effets de la violence par l’estimation monétaire des différents coûts directs et les coûts indirects supportés par les victimes et les ménages. Cette estimation faite via la méthode comptable consiste en une agrégation des coûts effectués pour accéder aux différents services, des coûts liés à la réparation ou le remplacement des biens détruits, à l'hébergement en cas d'abandon du domicile et des revenus perdus en raison de l’absence au travail ou à l’école et aux travaux domestiques suite à l’incident de violence le plus grave.
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Coût économique de la violence à l’encontre des filles et des femmes dépenses et perte de revenus des ménages (version Française).docx
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Coût économique de la violence à l’encontre des filles et des femmes dépenses et perte de revenus des ménages (version Arabe).docx (83.19 Ko)
Coût économique de la violence à l’encontre des filles et des femmes dépenses et perte de revenus des ménages (version Arabe).docx (83.19 Ko)
Dans le cadre de la campagne nationale et internationale de mobilisation pour l'élimination de la violence à l'encontre des femmes, le Haut-Commissariat au Plan présente les résultats relatifs au coût social de la violence à l’encontre des femmes et des filles à partir de son enquête nationale sur la violence à l’égard des femmes et des hommes de 2019 réalisée, avec l’appui de l’ONU FEMME au Maroc, entre février et juillet 2019.
La violence à l’encontre des femmes peut avoir de graves conséquences directes et indirectes sur la santé des victimes et sur leur bien-être physique, moral et social. Ses effets, physiques et /ou psychologiques, peuvent porter préjudice à leur qualité de vie, et impacter leurs activités sociales et professionnelles. Outre le vécu personnel de la violence, les répercussions peuvent avoir des effets néfastes sur les enfants des victimes, sur leur famille et sur la société dans son ensemble.
L’étude du coût social de la violence a porté sur la population de filles et de femmes âgées de 15 à 74 ans ayant déclaré avoir eu des expériences de violence physique et/ou sexuelle au cours des 12 derniers mois. Elle est en plus appréciée selon le contexte de violence qu’il soit conjugal, familial, dans les lieux de travail, les lieux d'études et les lieux publics.
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La violence à l’encontre des femmes peut avoir de graves conséquences directes et indirectes sur la santé des victimes et sur leur bien-être physique, moral et social. Ses effets, physiques et /ou psychologiques, peuvent porter préjudice à leur qualité de vie, et impacter leurs activités sociales et professionnelles. Outre le vécu personnel de la violence, les répercussions peuvent avoir des effets néfastes sur les enfants des victimes, sur leur famille et sur la société dans son ensemble.
L’étude du coût social de la violence a porté sur la population de filles et de femmes âgées de 15 à 74 ans ayant déclaré avoir eu des expériences de violence physique et/ou sexuelle au cours des 12 derniers mois. Elle est en plus appréciée selon le contexte de violence qu’il soit conjugal, familial, dans les lieux de travail, les lieux d'études et les lieux publics.
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Coût social de la violence à l’encontre des filles et des femmes impacts sur la vie des victimes, de leurs enfants et sur la société (Version française).docx
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Coût social de la violence à l’encontre des filles et des femmes impacts sur la vie des victimes, de leurs enfants et sur la société (Version arabe).docx (39.95 Ko)
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Le Haut-Commissariat au Plan élabore le Budget Economique Exploratoire 2021 qui présente une révision de la prévision de la croissance économique nationale en 2020, ainsi que ses perspectives pour l’année 2021. Ce budget est de nature à permettre au gouvernement et aux acteurs socio-économiques de prendre conscience de l'évolution économique prévisible en 2021.
L’élaboration du Budget Economique Exploratoire 2021 intervient dans un contexte inédit marqué par une crise sanitaire qui a débuté en Chine et s’est propagée dans le monde entier. L’Europe notre principal partenaire économique en devrait être fortement impactée.
Ainsi depuis son apparition au Maroc début mars, une batterie de mesures a été mise en place favorisant la santé publique. Confinement et fermeture des frontières ont été les principales décisions prises pour faire face à la propagation du virus causant ainsi l’arrêt partiel ou total de quelques activités économiques. Pour faire face à cette situation, un Fonds spécial de gestion de la pandémie a été créé, sous l’égide de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et dirigé par un Comité mixte composé du secteur public et privé.
Le contexte actuel rend toute prévision complexe à établir, suite à l’incertitude qui règne à la fois au niveau international et national, à savoir le manque de visibilité qui marque l’évolution de la pandémie, les étapes de sortie du confinement et l’éventuel deuxième vague de contagion après le dé-confinement.
L’élaboration du présent budget tient compte des perspectives économiques mondiales, établies par les différents organismes internationaux, notamment le FMI, l’OCDE, la Commission Européenne et la Banque Mondiale. Ce budget tient compte également des données de la comptabilité nationale, des résultats des enquêtes trimestrielles et des travaux de suivi et d’analyse de conjoncture menés par le Haut-Commissariat au Plan. Il se base aussi sur les données monétaires, issues de Bank Al Maghrib, les données financières fournies par le Ministère de l’Economie et des Finances et aussi sur les statistiques des échanges extérieurs fournies par l’Office des Changes.
Les prévisions pour l’année 2021 sont basées sur la réalisation d’une production moyenne durant la campagne agricole 2020/2021 et la reconduction, durant l’année 2021, de la politique budgétaire de l’Etat mise en vigueur en 2020.
Les perspectives présentées ci-après seront modifiées lors de l'élaboration du budget économique prévisionnel 2021, qui sera publié au mois de janvier prochain pour tenir compte des actions de politiques économiques retenues dans la Loi de Finances 2021, ainsi que des évolutions éventuelles que connaîtrait l'environnement économique national et international.
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Ainsi depuis son apparition au Maroc début mars, une batterie de mesures a été mise en place favorisant la santé publique. Confinement et fermeture des frontières ont été les principales décisions prises pour faire face à la propagation du virus causant ainsi l’arrêt partiel ou total de quelques activités économiques. Pour faire face à cette situation, un Fonds spécial de gestion de la pandémie a été créé, sous l’égide de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et dirigé par un Comité mixte composé du secteur public et privé.
Le contexte actuel rend toute prévision complexe à établir, suite à l’incertitude qui règne à la fois au niveau international et national, à savoir le manque de visibilité qui marque l’évolution de la pandémie, les étapes de sortie du confinement et l’éventuel deuxième vague de contagion après le dé-confinement.
L’élaboration du présent budget tient compte des perspectives économiques mondiales, établies par les différents organismes internationaux, notamment le FMI, l’OCDE, la Commission Européenne et la Banque Mondiale. Ce budget tient compte également des données de la comptabilité nationale, des résultats des enquêtes trimestrielles et des travaux de suivi et d’analyse de conjoncture menés par le Haut-Commissariat au Plan. Il se base aussi sur les données monétaires, issues de Bank Al Maghrib, les données financières fournies par le Ministère de l’Economie et des Finances et aussi sur les statistiques des échanges extérieurs fournies par l’Office des Changes.
Les prévisions pour l’année 2021 sont basées sur la réalisation d’une production moyenne durant la campagne agricole 2020/2021 et la reconduction, durant l’année 2021, de la politique budgétaire de l’Etat mise en vigueur en 2020.
Les perspectives présentées ci-après seront modifiées lors de l'élaboration du budget économique prévisionnel 2021, qui sera publié au mois de janvier prochain pour tenir compte des actions de politiques économiques retenues dans la Loi de Finances 2021, ainsi que des évolutions éventuelles que connaîtrait l'environnement économique national et international.
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Budget économique exploratoire 2021 (Version Fr).docx-2.docx
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Budget économique exploratoire 2021 (Version Ar).docx-1.docx (207.95 Ko)
Budget économique exploratoire 2021 (Version Ar).docx-1.docx (207.95 Ko)
L’arrêté du compte satellite du tourisme pour l’année 2019 fait ressortir un ralentissement du taux d’accroissement du produit intérieur brut touristique de 5,9% au lieu de 6,2% en 2018 et une hausse de celui de la consommation intérieure du tourisme de 5,7% au lieu de 5,4%.
C’est ainsi que la consommation intérieure du tourisme s’est établie à 138,3milliards de dirhams en 2019 au lieu de 130,8 milliards en 2018, en augmentation de 5,7%. Cette évolution est le résultat de l’accroissement de la consommation intérieure du :
Compte tenue de l’augmentation de 2,4% des impôts nets de subventions sur les produits touristiques, le PIB du tourisme s’est, au total, accru de 5,9% au lieu de 6,2% l’année précédente, se chiffrant à 81,4 milliards de dirhams en 2019 contre 76,9 milliards en 2018. Sa contribution au PIB national a connu une légère hausse pour se situer à 7,1% en 2019 après 6,9% une année auparavant.
En annexe les tableaux présentant les résultats du compte satellite du tourisme 2019.
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- tourisme récepteur de 4,8% au lieu de 5,9% en 2018, passant de 89 milliards de dirhams en 2018 à 93,2 milliards en 2019 ;
- tourisme interne et émetteur de 7,6% au lieu de 4,4%, passant de 41,8 milliards de dirhams en 2018 à 45 milliards en 2019.
- la part du tourisme récepteur dans la consommation intérieure a baissé de 68% en 2018 à 67,4% en 2019, celle du tourisme interne et émetteur s’est accrue de 32% en 2018 à 32,6% en 2019.
- la production du secteur du tourisme s’est située à 122,6 milliards de dirhams en 2019 au lieu de 115,5 milliards en 2018, avec un taux d’accroissement de 6,1%.
- La valeur ajoutée, de son côté, est passée de 61,6 milliards de dirhams en 2018 à 65,8 milliards en 2019 enregistrant ainsi une croissance de 6,8% par rapport à l’année précédente.
Compte tenue de l’augmentation de 2,4% des impôts nets de subventions sur les produits touristiques, le PIB du tourisme s’est, au total, accru de 5,9% au lieu de 6,2% l’année précédente, se chiffrant à 81,4 milliards de dirhams en 2019 contre 76,9 milliards en 2018. Sa contribution au PIB national a connu une légère hausse pour se situer à 7,1% en 2019 après 6,9% une année auparavant.
En annexe les tableaux présentant les résultats du compte satellite du tourisme 2019.
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Le Haut-Commissaire au Plan (HCP), Ahmed Alami Lahlimi, a accordé un entretien à la MAP à l'occasion de la Journée mondiale de la Statistique qui sera célébrée le 20 octobre 2020. En voici la teneur:
C'est aussi une statistique non seulement tolérée mais considérée comme fondamentale pour une information crédible au service de la Nation, de ses institutions et de ses citoyens, donc disposant des ressources nécessaires à ses programmes et au développement de ses capacités professionnelles et technologiques.
Une bonne statistique coûte cher. Elle suppose des enquêtes permanentes et périodiques, mais toujours régulières, réalisées par des statisticiens en formation permanente pour affiner les concepts, enrichir les méthodologies et actualiser les technologies. Tout cela, avec les actuelles avancées de la recherche scientifique et l'usage croissant de l'informatique des objets et de l'intelligence artificielle, la statistique progresse à une vitesse exponentielle.
Il faut, par ailleurs, constater que la statistique officielle opère aujourd'hui dans un contexte où le marché de l’information est un marché où l'initiative est libre sans aucune obligation qu'elle soit assortie d’une clarification du mode de fabrication de ses produits.
Ce marché est souvent inondé d’indicateurs statistiques dont on ne connaît ni les métadonnées, ni les méthodes de leur exploitation pour juger du niveau de leur rigueur scientifique et de la réalité de leur finalité. La statistique officielle doit ainsi opérer dans un marché concurrentiel où l'objectif des concurrents est souvent loin d'être innocent des visées commerciales, idéologiques, voire subversives.
¤ Télécharger le texte intégral de l'entretien
- 1. Quels sont les préalables pour une donnée statistique fiable ?
C'est aussi une statistique non seulement tolérée mais considérée comme fondamentale pour une information crédible au service de la Nation, de ses institutions et de ses citoyens, donc disposant des ressources nécessaires à ses programmes et au développement de ses capacités professionnelles et technologiques.
Une bonne statistique coûte cher. Elle suppose des enquêtes permanentes et périodiques, mais toujours régulières, réalisées par des statisticiens en formation permanente pour affiner les concepts, enrichir les méthodologies et actualiser les technologies. Tout cela, avec les actuelles avancées de la recherche scientifique et l'usage croissant de l'informatique des objets et de l'intelligence artificielle, la statistique progresse à une vitesse exponentielle.
Il faut, par ailleurs, constater que la statistique officielle opère aujourd'hui dans un contexte où le marché de l’information est un marché où l'initiative est libre sans aucune obligation qu'elle soit assortie d’une clarification du mode de fabrication de ses produits.
Ce marché est souvent inondé d’indicateurs statistiques dont on ne connaît ni les métadonnées, ni les méthodes de leur exploitation pour juger du niveau de leur rigueur scientifique et de la réalité de leur finalité. La statistique officielle doit ainsi opérer dans un marché concurrentiel où l'objectif des concurrents est souvent loin d'être innocent des visées commerciales, idéologiques, voire subversives.
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