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Etude sur les conditions de relance du secteur du tourisme après le déconfinement et scénarios de post covid 19 dans la région Eddakhla Oued Eddahab
Dans l’optique d’un déconfinement et suite à plusieurs réunion
Dans l’optique d’un déconfinement et suite à plusieurs réunion
de service au sein de la direction régionale du plan de Dakhla, une
étude sur l’effet de la pandémie Covid-19 sur le secteur du tourisme à été menée par les cadre de la direction régionale du HCP, dans le but
de contribuer à la réflexion sur les mesures et conditions de
redémarrage post-covid de l’activité la plus touchée par la pandémie
dans la région comme dans le Royaume, tout en gardant l’œil sur la
primauté de la situation sanitaire des citoyen et de l’impératif du
respect de l’ordre et de la santé publique de toute atteinte causée
peut être par la reprise normale sans précautions et mesures
d’accompagnement. De ce fait parallèlement à la participation aux
réunions du comité de veille économique, une cellule régionale au sein
de la direction régionale du plan Dakhla, a été instituée pour estimer
l’effet covid sur le tourisme régional, et de donner des propositions en
consultant les différents travaux similaires par d’autres organismes en
insistant sur la conceptualisation des propositions au cadre régional,
notamment celle de provenance nationale.
Notre approche est de présenter quelques scénarios avec les prérequis
pour un déconfinement et une meilleure atténuation du choc sur le
secteur du tourisme à Dakhla
الرقم الاستدلالي للتجارة الخارجية (أساس 100 : 2012). الفصل الأول 2020
L’indice des valeurs unitaires à l’importation a régressé de 1,4% au cours du premier trimestre 2020 par rapport au même trimestre de 2019.
Cette baisse résulte principalement de la diminution des valeurs unitaires des « demi-produits » de 4,8%, de l’« énergie et lubrifiants » de 6,3%, des « produits bruts d’origine minérale » de 44,6% et de l’« alimentation, boissons et tabacs » de 1,6%. Les indices des valeurs moyennes des « produits finis d’équipement industriel », des « produits finis de consommation » et des « produits finis d’équipement agricole » ont, quant à eux, augmenté de 5,5%, 2,4% et 2,0% respectivement atténuant ainsi la baisse de l’indice global des importations.
L’indice des valeurs unitaires à l’exportation a, de son côté, connu une diminution de 3,7% au cours du premier trimestre 2020 par rapport au trimestre correspondant de l’année précédente. Cette régression s’explique essentiellement par la diminution des valeurs unitaires des « demi-produits » de 15,5%, des « produits bruts d’origine minérale » de 9,5%, des « produits finis de consommation » de 0,4% et des « produits finis d’équipement industriel » de 0,2%. En revanche, cet indice a augmenté dans l’« alimentation, boissons et tabacs » de 0,7% et les « produits bruts d’origine animale et végétale » de 5,7%.
L’indice des valeurs unitaires à l’exportation a, de son côté, connu une diminution de 3,7% au cours du premier trimestre 2020 par rapport au trimestre correspondant de l’année précédente. Cette régression s’explique essentiellement par la diminution des valeurs unitaires des « demi-produits » de 15,5%, des « produits bruts d’origine minérale » de 9,5%, des « produits finis de consommation » de 0,4% et des « produits finis d’équipement industriel » de 0,2%. En revanche, cet indice a augmenté dans l’« alimentation, boissons et tabacs » de 0,7% et les « produits bruts d’origine animale et végétale » de 5,7%.
Télécharger la note intégrale
Télécharger la série des indices du commerce extérieur de 2013 à 2019
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الرقم الاستدلالي للاثمان عند الاستهلاك لشهر ماي 2020 (أساس 100 :2017)
Baisse de 0,2% de l’indice des prix à la consommation, résultant de la baisse de 0,6% de l’indice des produits alimentaires et de la hausse de 0,1% de l’indice des produits non alimentaires. L’indicateur d’inflation sous-jacente en stagnation sur un mois et en hausse de 0,8% sur une année.
Les baisses des produits alimentaires observées entre avril et mai 2020 concernent principalement les «légumes» avec 2,5%, les «poissons et fruits de mer » et les «fruits» avec 0,6%, les «viandes» avec 0,5%, le « lait, fromage et œufs » avec 0,2% et les « Huiles et graisses» avec 0,1%. En revanche, les prix ont augmenté de 0,1% pour le «café, thé et cacao» et pour le «Sucre, confiture, miel, chocolat et confiserie». Pour les produits non alimentaires, la baisse a concerné principalement les prix des « carburants » avec 0,9%.
Les baisses les plus importantes de l’IPC ont été enregistrées à Beni-Mellal avec 0,9%, à Kénitra avec 0,8%, à Rabat, Tanger et Errachidia avec 0,4%, à Dakhla et Safi avec 0,3% et à Casablanca et Fès avec 0,2%. En revanche, des hausses ont été enregistrées à Settat et Al-hoceima avec 0,6% et à Tétouan avec 0,4%.
Comparé au même mois de l’année précédente, l’indice des prix à la consommation a enregistré une baisse de 0,2% au cours du mois de mai 2020 conséquence de la baisse de l’indice des produits non alimentaires de 0,4% et de la stagnation de celui des produits alimentaires. Pour les produits non alimentaires, les variations vont d’une baisse de 7,3% dans le «Transport» à une hausse de 3,2% dans l’«Enseignement».
Dans ces conditions, l’indicateur d’inflation sous-jacente, qui exclut les produits à prix volatiles et les produits à tarifs publics, aurait connu au cours du mois de mai 2020 une stagnation par rapport au mois d’avril 2020 et une hausse de 0,8% par rapport au mois de mai 2019.
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بلاغ صحفي بمناسبة اليوم العالمي لمكافحة تشغيل الأطفال
Le 12 juin 2020, le monde célèbre la Journée mondiale contre le travail des enfants sous le thème « COVID-19 : Protégeons les enfants contre le travail des enfants, maintenant plus que jamais ! »
A cette occasion, le Haut-commissariat au Plan présente les traits saillants du travail dangereux des enfants selon les données de l’enquête nationale sur l’emploi de 2019.
Au Maroc, on compte 200.000 enfants économiquement actifs parmi les 7.271.000 enfants âgés de 7 à 17 ans, marquant une baisse de 23,5% par rapport à 2017. Parmi les enfants économiquement actifs, 119.000 accomplissent des travaux dangereux, ce qui correspond à un taux d’incidence de 1,6% (contre 2,3% en 2017). Les enfants astreints à ce type de travail sont à 74,4% ruraux, 84% masculins et à 75,6% âgés de 15 à 17 ans.
Quatre régions abritent 68,1% des enfants astreints au travail dangereux. La région de Casablanca-Settat vient en tête avec 27,9%, suivie de Marrakech-Safi (16,1%), puis région de Fès-Meknès avec 13,1% et enfin la Rabat-Salé-Kénitra (11,0%).
Ils sont au nombre de 30.000 en milieu urbain, constituant 83,1% des enfants au travail dans les villes (37.000 enfants) et 0,7% de l’ensemble des enfants citadins (4.200.000 enfants). En milieu rural, les enfants exerçant un travail dangereux sont au nombre de 89.000, ce qui correspond à 54,3% des enfants économiquement actifs (163.000 enfants) et à 2,9% de l’ensemble des enfants dans ce milieu (3.071.000 enfants).
Parmi les enfants de sexe masculin, 100.000 d’entre eux exercent un travail dangereux, soit 67,1% des garçons au travail. C’est le cas pour 19.000 filles qui exercent un travail dangereux, ce qui correspond à 37,4% des filles en travail.
Par ailleurs, 12,1% des enfants exerçant un travail dangereux sont en cours de scolarisation, 83,7% ont quitté l’école et 4,3% ne l’ont jamais fréquentée.
Le travail dangereux des enfants reste concentré dans certains secteurs économiques et diffère selon le milieu de résidence. En zones rurales, les enfants astreints à ce type de travail se retrouvent en particulier dans le secteur de l’"agriculture, forêt et pêche" (75,4%). En revanche, en villes, ils sont concentrés dans les "services" (54,8%) et dans l’"industrie y compris l’artisanat" (31,3%).
Ce type de travail demeure concentré dans certains statuts professionnels et diffère selon le milieu de résidence. En milieu rural, 66,9% des enfants astreints au travail dangereux sont "aides familiales" et 23,6% "salariés". En milieu urbain, 45,2% des enfants sont "salariés", 30,4% des "apprentis" et 16,3% "aides familiales".
Par ailleurs, au niveau mondial, selon les statistiques de l’OIT, 218 millions d’enfants entre 5 et 17 ans sont occupés économiquement dans le monde. Parmi eux, 73 millions, 4,6% de l’ensemble des enfants entre 5 et 17 ans, accomplissent des travaux dangereux.
A cette occasion, le Haut-commissariat au Plan présente les traits saillants du travail dangereux des enfants selon les données de l’enquête nationale sur l’emploi de 2019.
Au Maroc, on compte 200.000 enfants économiquement actifs parmi les 7.271.000 enfants âgés de 7 à 17 ans, marquant une baisse de 23,5% par rapport à 2017. Parmi les enfants économiquement actifs, 119.000 accomplissent des travaux dangereux, ce qui correspond à un taux d’incidence de 1,6% (contre 2,3% en 2017). Les enfants astreints à ce type de travail sont à 74,4% ruraux, 84% masculins et à 75,6% âgés de 15 à 17 ans.
Quatre régions abritent 68,1% des enfants astreints au travail dangereux. La région de Casablanca-Settat vient en tête avec 27,9%, suivie de Marrakech-Safi (16,1%), puis région de Fès-Meknès avec 13,1% et enfin la Rabat-Salé-Kénitra (11,0%).
Ils sont au nombre de 30.000 en milieu urbain, constituant 83,1% des enfants au travail dans les villes (37.000 enfants) et 0,7% de l’ensemble des enfants citadins (4.200.000 enfants). En milieu rural, les enfants exerçant un travail dangereux sont au nombre de 89.000, ce qui correspond à 54,3% des enfants économiquement actifs (163.000 enfants) et à 2,9% de l’ensemble des enfants dans ce milieu (3.071.000 enfants).
Parmi les enfants de sexe masculin, 100.000 d’entre eux exercent un travail dangereux, soit 67,1% des garçons au travail. C’est le cas pour 19.000 filles qui exercent un travail dangereux, ce qui correspond à 37,4% des filles en travail.
Par ailleurs, 12,1% des enfants exerçant un travail dangereux sont en cours de scolarisation, 83,7% ont quitté l’école et 4,3% ne l’ont jamais fréquentée.
Le travail dangereux des enfants reste concentré dans certains secteurs économiques et diffère selon le milieu de résidence. En zones rurales, les enfants astreints à ce type de travail se retrouvent en particulier dans le secteur de l’"agriculture, forêt et pêche" (75,4%). En revanche, en villes, ils sont concentrés dans les "services" (54,8%) et dans l’"industrie y compris l’artisanat" (31,3%).
Ce type de travail demeure concentré dans certains statuts professionnels et diffère selon le milieu de résidence. En milieu rural, 66,9% des enfants astreints au travail dangereux sont "aides familiales" et 23,6% "salariés". En milieu urbain, 45,2% des enfants sont "salariés", 30,4% des "apprentis" et 16,3% "aides familiales".
Par ailleurs, au niveau mondial, selon les statistiques de l’OIT, 218 millions d’enfants entre 5 et 17 ans sont occupés économiquement dans le monde. Parmi eux, 73 millions, 4,6% de l’ensemble des enfants entre 5 et 17 ans, accomplissent des travaux dangereux.
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مختصرات المندوبية السامية للتخطيط، عدد 13 - 14 يونيو 2020
Indicateurs démographiques et économiques des zones de déconfinement
Le Maroc a opté le 11 juin 2020 pour une levée progressive du confinement selon deux zones 1 et 2, la 1ère étant qualifiée de zone verte avec un large allègement des restrictions sanitaires, alors que la
zone 2, dite zone orange, garde encore des limitations plus contraignantes.
بلاغ صحفي بمناسبة اليوم العالمي لمكافحة تشغيل الأطفال
Le 12 juin 2020, le monde célèbre la Journée mondiale contre le travail des enfants sous le thème « COVID-19 : Protégeons les enfants contre le travail des enfants, maintenant plus que jamais ! »
A cette occasion, le Haut-commissariat au Plan présente les traits saillants du travail dangereux des enfants selon les données de l’enquête nationale sur l’emploi de 2019.
Au Maroc, on compte 200.000 enfants économiquement actifs parmi les 7.271.000 enfants âgés de 7 à 17 ans, marquant une baisse de 23,5% par rapport à 2017. Parmi les enfants économiquement actifs, 119.000 accomplissent des travaux dangereux, ce qui correspond à un taux d’incidence de 1,6% (contre 2,3% en 2017). Les enfants astreints à ce type de travail sont à 74,4% ruraux, 84% masculins et à 75,6% âgés de 15 à 17 ans.
Quatre régions abritent 68,1% des enfants astreints au travail dangereux. La région de Casablanca-Settat vient en tête avec 27,9%, suivie de Marrakech-Safi (16,1%), puis région de Fès-Meknès avec 13,1% et enfin la Rabat-Salé-Kénitra (11,0%).
Ils sont au nombre de 30.000 en milieu urbain, constituant 83,1% des enfants au travail dans les villes (37.000 enfants) et 0,7% de l’ensemble des enfants citadins (4.200.000 enfants). En milieu rural, les enfants exerçant un travail dangereux sont au nombre de 89.000, ce qui correspond à 54,3% des enfants économiquement actifs (163.000 enfants) et à 2,9% de l’ensemble des enfants dans ce milieu (3.071.000 enfants).
Parmi les enfants de sexe masculin, 100.000 d’entre eux exercent un travail dangereux, soit 67,1% des garçons au travail. C’est le cas pour 19.000 filles qui exercent un travail dangereux, ce qui correspond à 37,4% des filles en travail.
Par ailleurs, 12,1% des enfants exerçant un travail dangereux sont en cours de scolarisation, 83,7% ont quitté l’école et 4,3% ne l’ont jamais fréquentée.
Le travail dangereux des enfants reste concentré dans certains secteurs économiques et diffère selon le milieu de résidence. En zones rurales, les enfants astreints à ce type de travail se retrouvent en particulier dans le secteur de l’"agriculture, forêt et pêche" (75,4%). En revanche, en villes, ils sont concentrés dans les "services" (54,8%) et dans l’"industrie y compris l’artisanat" (31,3%).
Ce type de travail demeure concentré dans certains statuts professionnels et diffère selon le milieu de résidence. En milieu rural, 66,9% des enfants astreints au travail dangereux sont "aides familiales" et 23,6% "salariés". En milieu urbain, 45,2% des enfants sont "salariés", 30,4% des "apprentis" et 16,3% "aides familiales".
Par ailleurs, au niveau mondial, selon les statistiques de l’OIT, 218 millions d’enfants entre 5 et 17 ans sont occupés économiquement dans le monde. Parmi eux, 73 millions, 4,6% de l’ensemble des enfants entre 5 et 17 ans, accomplissent des travaux dangereux.
A cette occasion, le Haut-commissariat au Plan présente les traits saillants du travail dangereux des enfants selon les données de l’enquête nationale sur l’emploi de 2019.
Au Maroc, on compte 200.000 enfants économiquement actifs parmi les 7.271.000 enfants âgés de 7 à 17 ans, marquant une baisse de 23,5% par rapport à 2017. Parmi les enfants économiquement actifs, 119.000 accomplissent des travaux dangereux, ce qui correspond à un taux d’incidence de 1,6% (contre 2,3% en 2017). Les enfants astreints à ce type de travail sont à 74,4% ruraux, 84% masculins et à 75,6% âgés de 15 à 17 ans.
Quatre régions abritent 68,1% des enfants astreints au travail dangereux. La région de Casablanca-Settat vient en tête avec 27,9%, suivie de Marrakech-Safi (16,1%), puis région de Fès-Meknès avec 13,1% et enfin la Rabat-Salé-Kénitra (11,0%).
Ils sont au nombre de 30.000 en milieu urbain, constituant 83,1% des enfants au travail dans les villes (37.000 enfants) et 0,7% de l’ensemble des enfants citadins (4.200.000 enfants). En milieu rural, les enfants exerçant un travail dangereux sont au nombre de 89.000, ce qui correspond à 54,3% des enfants économiquement actifs (163.000 enfants) et à 2,9% de l’ensemble des enfants dans ce milieu (3.071.000 enfants).
Parmi les enfants de sexe masculin, 100.000 d’entre eux exercent un travail dangereux, soit 67,1% des garçons au travail. C’est le cas pour 19.000 filles qui exercent un travail dangereux, ce qui correspond à 37,4% des filles en travail.
Par ailleurs, 12,1% des enfants exerçant un travail dangereux sont en cours de scolarisation, 83,7% ont quitté l’école et 4,3% ne l’ont jamais fréquentée.
Le travail dangereux des enfants reste concentré dans certains secteurs économiques et diffère selon le milieu de résidence. En zones rurales, les enfants astreints à ce type de travail se retrouvent en particulier dans le secteur de l’"agriculture, forêt et pêche" (75,4%). En revanche, en villes, ils sont concentrés dans les "services" (54,8%) et dans l’"industrie y compris l’artisanat" (31,3%).
Ce type de travail demeure concentré dans certains statuts professionnels et diffère selon le milieu de résidence. En milieu rural, 66,9% des enfants astreints au travail dangereux sont "aides familiales" et 23,6% "salariés". En milieu urbain, 45,2% des enfants sont "salariés", 30,4% des "apprentis" et 16,3% "aides familiales".
Par ailleurs, au niveau mondial, selon les statistiques de l’OIT, 218 millions d’enfants entre 5 et 17 ans sont occupés économiquement dans le monde. Parmi eux, 73 millions, 4,6% de l’ensemble des enfants entre 5 et 17 ans, accomplissent des travaux dangereux.
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الرقم الاستدلالي للإنتاج الصناعي والطاقي والمعدني أساس 100 : 2015 .الفصل الأول من سنة 2020
L’indice de la production des industries manufacturières hors raffinage de pétrole a enregistré une hausse de 0,5% au cours du premier trimestre 2020 par rapport à la même période de 2019.
Cette évolution résulte notamment de la hausse de l’indice de la production des «industries chimiques» de 8,2%, de celui des « industries alimentaires » de 7,5%, de celui des « industries pharmaceutiques » de 17,5%, de celui des «articles d’habillement» de 6,4%, de celui du « papier et carton » de 9,5% et de celui du « travail du bois» de 5,9%.
En revanche, l’indice de l’«industrie automobile» a enregistré une baisse de 20,3%, de celui de l’«industrie d’autres produits non métalliques » de 4,5%, de celui de la « métallurgie de 14,7%, de celui de l’« industrie électronique » de 15,4%, de celui de l’« industrie textile » de 2,4% et de celui des « industries du cuir et de la chaussure » de 26,3%.
Par ailleurs, l’indice de la production des industries extractives a enregistré une baisse de 0,4%, résultant dela baisse de l’indice de la production des « produits divers des industries extractives » de 0,2% et de celui des« minerais métalliques » de 7,7%.
Enfin, l’indice de la production de l’énergie électrique a enregistré, de son côté, une baisse de 3,4%.
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المندوبية السامية للتخطيط تطلق منصة للدعم المدرسي
Le Haut-Commissariat au Plan (HCP), porte à la connaissance de l’opinion publique, la mise en service, par le Centre National de Documentation (CND), sur son portail d’informations ABHATOO, d’une base de données documentaire "e-soutien-scolaire", destinée aux différents niveaux de l’enseignement au Maroc, et accessible à travers le lien : http://www.abhatoo.net.ma/e-soutien-scolaire.
Cette base de données est soumise à l’appréciation des enseignants et mise à la disposition des élèves et de leurs parents, avec l’objectif de contribuer aux efforts déployés par le Ministère de l’Education Nationale, de la Formation Professionnelle, de l’Enseignement Supérieur et la Recherche Scientifique (MEN), pour le développement de l’enseignement à distance, dans le contexte du confinement sanitaire en vigueur depuis le 20 mars 2020.
Elle cible, en particulier, les trois niveaux de l’enseignement primaire, secondaire et lycée, en plus du préscolaire et de l’éducation inclusive.
Cette initiative, réalisée par les experts du CND, s’inscrit dans le cadre des missions assignées à cette institution de collecter, traiter et diffuser la documentation et les informations à caractère économique, social et environnemental du Maroc. Son objet, par nature dynamique, est appelé à être constamment enrichi et amélioré, en concertation avec le MEN, pour être en phase avec les éventuelles évolutions des programmes et normes pédagogiques officiels, avec l’espoir de constituer une valeur ajoutée dans l’enseignement à distance et du soutien scolaire, et dans la perspective d’être élargi à d’autres niveaux et modes d’enseignement, notamment, la formation professionnelle.
Cette base de données est soumise à l’appréciation des enseignants et mise à la disposition des élèves et de leurs parents, avec l’objectif de contribuer aux efforts déployés par le Ministère de l’Education Nationale, de la Formation Professionnelle, de l’Enseignement Supérieur et la Recherche Scientifique (MEN), pour le développement de l’enseignement à distance, dans le contexte du confinement sanitaire en vigueur depuis le 20 mars 2020.
Elle cible, en particulier, les trois niveaux de l’enseignement primaire, secondaire et lycée, en plus du préscolaire et de l’éducation inclusive.
Cette initiative, réalisée par les experts du CND, s’inscrit dans le cadre des missions assignées à cette institution de collecter, traiter et diffuser la documentation et les informations à caractère économique, social et environnemental du Maroc. Son objet, par nature dynamique, est appelé à être constamment enrichi et amélioré, en concertation avec le MEN, pour être en phase avec les éventuelles évolutions des programmes et normes pédagogiques officiels, avec l’espoir de constituer une valeur ajoutée dans l’enseignement à distance et du soutien scolaire, et dans la perspective d’être élargi à d’autres niveaux et modes d’enseignement, notamment, la formation professionnelle.
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الوضعية الاقتصادية الوطنية خلال سنة 2019
L’arrêté des comptes nationaux de l’année 2019 fait ressortir un ralentissement de la croissance de l’économie nationale se situant à 2,5% au lieu de 3,1% en 2018. Cette croissance a été tirée par la consommation finale et la demande extérieure dans le contexte d’une inflation maitrisée et d’un allégement du besoin de financement de l’économie nationale.
Une croissance économique soutenue par les activités non agricoles
Le taux de croissance de l’économie nationale s’est établi à 2,5% en 2019 au lieu de 3,1% en 2018, sous les effets conjugués :
Dans ce contexte, le PIB aux prix courants s’est accru de 3,9% en 2019 au lieu de 4,3% une année auparavant, dégageant ainsi une augmentation du niveau général des prix de 1,3% au lieu de 1,1%.
Le taux de croissance de l’économie nationale s’est établi à 2,5% en 2019 au lieu de 3,1% en 2018, sous les effets conjugués :
- de la baisse de 5,8% en volume de la valeur ajoutée du secteur agricole (non compris la pêche) après une hausse de 3,7% en 2018 ;
- et de l’augmentation de 3,8% au lieu de 2,9% une année plus tôt de la valeur ajoutée des autres secteurs d'activité non agricoles.
Dans ce contexte, le PIB aux prix courants s’est accru de 3,9% en 2019 au lieu de 4,3% une année auparavant, dégageant ainsi une augmentation du niveau général des prix de 1,3% au lieu de 1,1%.
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رقم 239 شارع الزرقطوني حي الفطيحات ص.ب :148 –الداخلة
الهاتف :21-81-89-28-05(212+) – الفاكس : 34-80-89-28-05(212+)
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