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الرقم الاستدلالي للاثمان عند الاستهلاك لشهر مارس 2019
Stagnation de l’indice des prix à la consommation, résultant de la baisse de 0,3% de l’indice des produits alimentaires et de la hausse de 0,2% de l’indice des produits non alimentaires. L’indicateur d’inflation sous-jacente en stagnation sur un mois et en hausse de 0,8% sur une année.
L’indice des prix à la consommation a connu, au cours du mois de mars 2019, une stagnation par rapport au mois précédent. Cette stagnation est le résultat de la baisse de 0,3% de l’indice des produits alimentaires et de la hausse de 0,2% de l’indice des produits non alimentaires.
Les baisses des produits alimentaires observées entre février et mars 2019 concernent principalement les «poissons et fruits de mer» avec 2,6%, les «légumes» avec 1,3%, les «huiles et graisses» avec 0,9% et le «lait, fromage et œufs» avec 0,6%. En revanche, les prix ont augmenté de 0,4% pour les «fruits». Pour les produits non alimentaires, la hausse a concerné principalement les prix des «carburants» avec 5,2%.
Les baisses les plus importantes de l’IPC ont été enregistrées à Laâyoune avec 0,6%, à Tétouan et Al-hoceima avec 0,3% et à Casablanca et Rabat avec 0,2%. En revanche, des hausses ont été enregistrées à Guelmim avec 0,5%, à Oujda avec 0,3% et à Agadir et Fès avec 0,2%.
Comparé au même mois de l’année précédente, l’indice des prix à la consommation a enregistré une baisse de 0,1% au cours du mois de mars 2019 conséquence de la baisse de l’indice des produits alimentaires de 1,8% et de la hausse de celui des produits non alimentaires de 1,1%. Pour les produits non alimentaires, les variations vont d’une hausse de 0,3% pour la «Communication» à 3,4% pour l’ «Enseignement».
Dans ces conditions, l’indicateur d’inflation sous-jacente, qui exclut les produits à prix volatiles et les produits à tarifs publics, aurait connu au cours du mois de mars 2019 une stagnation par rapport au mois de février 2019 et une hausse de 0,8% par rapport au mois de mars 2018.
Les baisses des produits alimentaires observées entre février et mars 2019 concernent principalement les «poissons et fruits de mer» avec 2,6%, les «légumes» avec 1,3%, les «huiles et graisses» avec 0,9% et le «lait, fromage et œufs» avec 0,6%. En revanche, les prix ont augmenté de 0,4% pour les «fruits». Pour les produits non alimentaires, la hausse a concerné principalement les prix des «carburants» avec 5,2%.
Les baisses les plus importantes de l’IPC ont été enregistrées à Laâyoune avec 0,6%, à Tétouan et Al-hoceima avec 0,3% et à Casablanca et Rabat avec 0,2%. En revanche, des hausses ont été enregistrées à Guelmim avec 0,5%, à Oujda avec 0,3% et à Agadir et Fès avec 0,2%.
Comparé au même mois de l’année précédente, l’indice des prix à la consommation a enregistré une baisse de 0,1% au cours du mois de mars 2019 conséquence de la baisse de l’indice des produits alimentaires de 1,8% et de la hausse de celui des produits non alimentaires de 1,1%. Pour les produits non alimentaires, les variations vont d’une hausse de 0,3% pour la «Communication» à 3,4% pour l’ «Enseignement».
Dans ces conditions, l’indicateur d’inflation sous-jacente, qui exclut les produits à prix volatiles et les produits à tarifs publics, aurait connu au cours du mois de mars 2019 une stagnation par rapport au mois de février 2019 et une hausse de 0,8% par rapport au mois de mars 2018.
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Développement humain
ODD : Objectifs de développement durable
ODD 1 : Pas de pauvreté
ODD 2 : Faim Zéro
ODD 3 : Bonne santé et Bien-Etre
ODD 4 : Education de qualité
ODD 5 : Egalité entre les sexes
ODD 6 : Eau propre et assainissement
ODD 7 : Energie propre et d'un coût abordable
ODD 8 : Travail décent et croissance économique
ODD 9 : Industrie, innovation et infrastructure
ODD10 : Inégalités réduites
ODD11 : Villes et communautés durables
ODD12 : Consommation et production responsables
ODD13 : Lutte contre les changements climatiques
ODD14 : Vie aquatique
ODD15 : Vie terrestre
ODD16 : Paix, justice et institutions efficaces
ODD17 : Partenariats pour la réalisation des objectifs
OMD : Objectifs du millénaire pour le développement
Pauvreté
Exclusion sociale
Inégalités sociales
Inégalité des revenus
Insécurité Alimentaire
Précarité
Précarité énergétique
Précarité familiale et affective
Travail/chômage
Vulnérabilité
Vulnérabilité et handicap
Vulnérabilité et vieillesse
Indicateurs de pauvreté (IPH)
Conditions de vie
Espérance de vie
Niveau de vie
Taux d'analphabétisme
Taux de pauvreté
Lutte contre la pauvreté
Services sociaux de base
Accès à la santé
Accès à l'eau
Accès à l'éducation
Accès à l'emploi
Accès au logement
Electrification
08/04/2019 - Le déficit courant 2018 au plus haut depuis cinq ans
Conjoncture > Echanges extérieurs
En tenant compte du niveau de croissance déjà estimé par le HCP à 3,1% (en attendant l’arrêté des comptes nationaux en juin prochain), son poids dans le PIB ressortirait à 5,4% contre 3,6% une année auparavant. A ceci près que cela provient de l’augmentation du PIB davantage que du rétrécissement du déficit commercial.
Lien(s) : https://www.lavieeco.com/news/economie/analyse-le-deficit-courant-2018-au-plus-haut-depuis-cinq-ans.html
Date de publication sur ce portail : 08/04/2019
Conjoncture > Echanges extérieurs
En tenant compte du niveau de croissance déjà estimé par le HCP à 3,1% (en attendant l’arrêté des comptes nationaux en juin prochain), son poids dans le PIB ressortirait à 5,4% contre 3,6% une année auparavant. A ceci près que cela provient de l’augmentation du PIB davantage que du rétrécissement du déficit commercial.
Lien(s) : https://www.lavieeco.com/news/economie/analyse-le-deficit-courant-2018-au-plus-haut-depuis-cinq-ans.html
Date de publication sur ce portail : 08/04/2019
نتائج بحث الظرفية لدى الأسر الفصل الأول من سنة 2019
Les résultats de l’enquête permanente de conjoncture auprès des ménages, menée par le HCP, montrent, globalement, que l’indice de confiance des ménages continue sa tendance baissière entamée depuis le premier trimestre de 2018.
L'indice de confiance des ménages (ICM) s’est ainsi établi à 79,1 points, au lieu de 79,8 points enregistrés le trimestre précédant et 87,3 points une année auparavant.
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موجز الظرفية الفصلية، أبريل 2019
L’économie nationale aurait progressé de 2,3%, au premier trimestre 2019, au lieu de +3,3% à la même période une année auparavant, pâtissant d’une baisse de 4,8% des activités agricoles. La valeur ajoutée hors agriculture aurait augmenté de 3,3%, en variation annuelle, portée particulièrement par les mines, les industries manufacturières et les services. Au deuxième trimestre 2019, la croissance des activités hors agriculture se poursuivrait au même rythme que le trimestre précédent. Compte tenu d’une baisse de 4,3% de la valeur ajoutée agricole, l’économie nationale s’améliorerait de 2,4%, au lieu de +2,5% au deuxième trimestre 2018.
Ralentissement de l'économie mondiale
Le climat conjoncturel dans les pays avancés serait resté atone au premier trimestre 2019. Dans la zone euro, l'activité aurait progressé de 1,2% en rythme annualisé, au lieu de +1,6% un an plus tôt, impactée par la contraction de la croissance italienne et le moindre dynamisme de l'économie allemande. Cette dernière, plus exposée au ralentissement du commerce mondial, aurait été affectée par l'essoufflement du secteur automobile pendant deux trimestres consécutifs suite à l'entrée en vigueur de la nouvelle norme anti-pollution au 1er septembre 2018. En France et en Espagne, l'activité aurait fait preuve de plus de résilience, soutenue principalement par la demande intérieure. Pour sa part, la croissance américaine aurait décéléré, sous l'effet du ralentissement de la consommation des ménages et de la baisse des dépenses publiques liée au shutdown. De son côté, l'activité britannique aurait de nouveau ralenti, pénalisée par le contexte d'attentisme lié à l'issue de l'accord sur le Brexit.
Dans les pays émergents, l’activité aurait évolué moins favorablement au premier trimestre 2019. En Chine, la croissance aurait décéléré pour atteindre +6,3%, au lieu de +6,8% un an plus tôt, pénalisée par l'atonie de la demande aussi bien extérieure qu'intérieure et ce, malgré la mise en place, depuis janvier 2019, de mesures fiscales incitatives et d'assouplissement de la politique monétaire. Les économies russe, brésilienne et turque auraient, quant à elles, été affectées par la dépréciation de leurs monnaies, les pressions inflationnistes et le ralentissement du commerce mondial. En revanche, l'activité en Inde serait restée bien orientée, soutenue par la vigueur de la demande intérieure, notamment la consommation des ménages.
Sur le marché des matières premières énergétiques, le cours du brent se serait établi, en moyenne, à 63,5$/baril au premier trimestre 2019, en baisse de 5,2% en variation annuelle, malgré une réduction de l'offre suite à la diminution de la production décidée par les pays de l'OPEP ayant favorisé une hausse du prix au mois de mars. Les cours des céréales, notamment ceux du blé tendre et dur et du maïs, se seraient renchéris, respectivement, de 18,6%, 11,6% et 5,3%, au cours des deux premiers mois de 2019. Dans ces conditions, l'inflation aurait atteint +1,6% aux Etats-Unis et +1,5% en zone euro au premier trimestre 2019, au lieu de +2,1% et +1,3%, respectivement, un an auparavant.
Le climat conjoncturel dans les pays avancés serait resté atone au premier trimestre 2019. Dans la zone euro, l'activité aurait progressé de 1,2% en rythme annualisé, au lieu de +1,6% un an plus tôt, impactée par la contraction de la croissance italienne et le moindre dynamisme de l'économie allemande. Cette dernière, plus exposée au ralentissement du commerce mondial, aurait été affectée par l'essoufflement du secteur automobile pendant deux trimestres consécutifs suite à l'entrée en vigueur de la nouvelle norme anti-pollution au 1er septembre 2018. En France et en Espagne, l'activité aurait fait preuve de plus de résilience, soutenue principalement par la demande intérieure. Pour sa part, la croissance américaine aurait décéléré, sous l'effet du ralentissement de la consommation des ménages et de la baisse des dépenses publiques liée au shutdown. De son côté, l'activité britannique aurait de nouveau ralenti, pénalisée par le contexte d'attentisme lié à l'issue de l'accord sur le Brexit.
Dans les pays émergents, l’activité aurait évolué moins favorablement au premier trimestre 2019. En Chine, la croissance aurait décéléré pour atteindre +6,3%, au lieu de +6,8% un an plus tôt, pénalisée par l'atonie de la demande aussi bien extérieure qu'intérieure et ce, malgré la mise en place, depuis janvier 2019, de mesures fiscales incitatives et d'assouplissement de la politique monétaire. Les économies russe, brésilienne et turque auraient, quant à elles, été affectées par la dépréciation de leurs monnaies, les pressions inflationnistes et le ralentissement du commerce mondial. En revanche, l'activité en Inde serait restée bien orientée, soutenue par la vigueur de la demande intérieure, notamment la consommation des ménages.
Sur le marché des matières premières énergétiques, le cours du brent se serait établi, en moyenne, à 63,5$/baril au premier trimestre 2019, en baisse de 5,2% en variation annuelle, malgré une réduction de l'offre suite à la diminution de la production décidée par les pays de l'OPEP ayant favorisé une hausse du prix au mois de mars. Les cours des céréales, notamment ceux du blé tendre et dur et du maïs, se seraient renchéris, respectivement, de 18,6%, 11,6% et 5,3%, au cours des deux premiers mois de 2019. Dans ces conditions, l'inflation aurait atteint +1,6% aux Etats-Unis et +1,5% en zone euro au premier trimestre 2019, au lieu de +2,1% et +1,3%, respectivement, un an auparavant.
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La direction régionale du Haut Commissariat au Plan a le plaisir d’éditer la monographie de la région Eddakhla - Oued Eddahab au titre de l’année 2018, cette nouvelle éditions e veut être une référence sur les réalisations régionales, en se basant sur les données socio-économique et culturelles et présentant des indicateurs de développement en plus d’une analyse pertinente.
La publication de ce document a pour objectif l’analyse, l’évaluation et le suivi des indicateurs de développement dans les divers domaines dans la région. Ainsi que la mise à la disposition des chercheurs et des utilisateurs, des informations statistiques régionales fiables avec toute l'analyse nécessaire concernant les différents secteurs sociaux et productifs. Une attention particulière tout au long de ce document est portée à la dynamique initiée par le nouveau modèle de développement des provinces du sud du Royaume.
A fin de répondre au mieux aux besoins des utilisateurs, la direction tient à améliorer le contenu de ce document de façon continue, en ajoutant d’autres données et statistiques régionales.
Pour faciliter l’utilisation de ce document, les thèmes traités sont divisés en 5 grandes parties, en plus d’une partie introductive présentant la région ; chacune concerne les 2 provinces. Les données sont présentées sous forme de tableaux, figures et cartes, elles concernent l’année 2017 et parfois les années précédentes pour avoir une idée sur l’évolution d’un secteur donné.
A l’occasion de la publication de ce numéro, la direction régionale tient à remercier tous les services administratifs régionaux et provinciaux qui lui fournissent l’information statistique, et dont l’apport a été d’une grande importance pour la préparation de cette monographie.
La direction sera aussi heureuse de recevoir toutes les remarques et suggestion susceptibles de contribuer positivement à l’amélioration des prochaines éditions de ce document.
Le Directeur régional
Cheikh Mohamed Maoulainine
La publication de ce document a pour objectif l’analyse, l’évaluation et le suivi des indicateurs de développement dans les divers domaines dans la région. Ainsi que la mise à la disposition des chercheurs et des utilisateurs, des informations statistiques régionales fiables avec toute l'analyse nécessaire concernant les différents secteurs sociaux et productifs. Une attention particulière tout au long de ce document est portée à la dynamique initiée par le nouveau modèle de développement des provinces du sud du Royaume.
A fin de répondre au mieux aux besoins des utilisateurs, la direction tient à améliorer le contenu de ce document de façon continue, en ajoutant d’autres données et statistiques régionales.
Pour faciliter l’utilisation de ce document, les thèmes traités sont divisés en 5 grandes parties, en plus d’une partie introductive présentant la région ; chacune concerne les 2 provinces. Les données sont présentées sous forme de tableaux, figures et cartes, elles concernent l’année 2017 et parfois les années précédentes pour avoir une idée sur l’évolution d’un secteur donné.
A l’occasion de la publication de ce numéro, la direction régionale tient à remercier tous les services administratifs régionaux et provinciaux qui lui fournissent l’information statistique, et dont l’apport a été d’une grande importance pour la préparation de cette monographie.
La direction sera aussi heureuse de recevoir toutes les remarques et suggestion susceptibles de contribuer positivement à l’amélioration des prochaines éditions de ce document.
Le Directeur régional
Cheikh Mohamed Maoulainine
Dans le cadre de ces attributions en matière de production et de collecte d’information statistique, la direction régionale relevant du Haut Commissariat au Plan à Dakhla, élabore périodiquement l’Annuaire Statistique Régional.
En effet, le processus de la décentralisation et de la régionalisation entamé dans notre pays renforce l’idée d’un système statistique régional développé pour constituer une base de données statistique fiable et pertinente qui reflète toutes les activités économiques et sociales dans la région.
Ce document se veut être un outil précieux d’aide à la prise de décision mis entre les mains des décideurs au niveau régional et national, ainsi que tout autre utilisateur de l’information statistique afin d’avoir une image claire sur toutes les activités des différents secteurs économiques dans la région.
Les informations contenant dans ce document découlent des exploitations statistiques sous produites des différents services extérieurs opérant dans le territoire régional et des enquêtes statistiques menées par le Haut Commissariat au Plan et de ces publications.
A cet égard, la direction régionale du Haut Commissariat au Plan à Dakhla tient à remercier l’ensemble des services qui ont voulu offrir toutes les données statistiques relevant de leur compétence et qui ont permis à la réalisation de ce document.
La direction Régionale du HCP à Dakhla, tient à exprimer ces vifs remerciements à tous les responsables qui ont contribué de près ou de loin à l’élaboration de ce document, elle sera heureuse de recevoir toutes les observations ou suggestions qui vont contribuer à l’amélioration de cet document dans les prochaines années.
En effet, le processus de la décentralisation et de la régionalisation entamé dans notre pays renforce l’idée d’un système statistique régional développé pour constituer une base de données statistique fiable et pertinente qui reflète toutes les activités économiques et sociales dans la région.
Ce document se veut être un outil précieux d’aide à la prise de décision mis entre les mains des décideurs au niveau régional et national, ainsi que tout autre utilisateur de l’information statistique afin d’avoir une image claire sur toutes les activités des différents secteurs économiques dans la région.
Les informations contenant dans ce document découlent des exploitations statistiques sous produites des différents services extérieurs opérant dans le territoire régional et des enquêtes statistiques menées par le Haut Commissariat au Plan et de ces publications.
A cet égard, la direction régionale du Haut Commissariat au Plan à Dakhla tient à remercier l’ensemble des services qui ont voulu offrir toutes les données statistiques relevant de leur compétence et qui ont permis à la réalisation de ce document.
La direction Régionale du HCP à Dakhla, tient à exprimer ces vifs remerciements à tous les responsables qui ont contribué de près ou de loin à l’élaboration de ce document, elle sera heureuse de recevoir toutes les observations ou suggestions qui vont contribuer à l’amélioration de cet document dans les prochaines années.
L’arrêté des comptes nationaux fait ressortir une croissance économique nationale, se situant à 2,9% au quatrième trimestre 2018 au lieu de 4,4% durant la même période de l’année 2017. Cette croissance a été tirée par la consommation finale des ménages dans le contexte d’une inflation maitrisée et d’un besoin de financement de l’économie nationale en augmentation.
Ralentissement des activités sectorielles à l’exclusion des services
Le secteur primaire, a affiché un net ralentissement de son rythme de croissance, passant de 10,9% au quatrième trimestre de l’année 2017 à 2% durant la même période de l’année 2018. Cette évolution est le résultat de la hausse de la valeur ajoutée de l’activité agricole de 3,5% au lieu de 13,6% une année auparavant et de la baisse de celle de la pêche de 15,7% au lieu de 16,9%.De son côté, la valeur ajoutée du secteur secondaire, en volume, a réalisé un ralentissement de son taux d’accroissement passant de 4,6% au quatrième trimestre de l’année 2017 à 3,2% le même trimestre de l’année 2018. Ceci résulte du ralentissement du rythme d’accroissement des activités :
- de l’industrie d’extraction à 0,3% au lieu de 19,9% ;
- du bâtiment et travaux publics à 0,4% au lieu de 1,9%.
- de l’électricité et eau de 7% au lieu de 6,8%;
- des industries de transformation de 3,9% au lieu de 3,2% ;
- du commerce, avec 4,5% au lieu de 2,2% ;
- des services financiers et assurances, avec 3,9 % au lieu de 2,1% ;
- des postes et télécommunications, avec 2,7% au lieu de 0,5% ;
- et les services de l’éducation, de la santé et de l’action sociale, avec 0,8% au lieu d’une baisse de 0,6%.
- des hôtels et restaurants, à 5,9% au lieu de 11,9%;
- des services rendus aux ménages et aux entreprises, à 3% au lieu de 3,7%;
- du transport, à 1,7% au lieu de 5,5%.
Dans ces conditions, et tenant compte de l’accroissement de 2,3% des impôts sur les produits nets des subventions au lieu de 2,8%, le Produit Intérieur Brut (PIB) en volume s’est accru de 2,9% durant le quatrième trimestre 2018 au lieu de 4,4% la même période de l’année précédente.
Quasi-stagnation du taux d’inflation
Aux prix courants, le PIB a connu une augmentation de 4,8% durant le quatrième trimestre 2018. De ce fait, la hausse du niveau général des prix a été de 1,9% au lieu de 2% une année auparavant.
Demande intérieure: hausse de la consommation finale et baisse de l’investissement
La demande intérieure a affiché un taux d’accroissement de 2% durant le quatrième trimestre de l’année 2018 au lieu de 3,8% durant la même période de l’année précédente, contribuant ainsi pour 2,2 points à la croissance économique nationale au lieu de 4,2 points une année auparavant.Les dépenses de consommation finale des ménages ont connu une hausse de 3,9% au lieu de 1,9%, contribuant pour 2,2 points à la croissance au lieu de 1,1 point. De même, la consommation finale des administrations publiques a connu une augmentation de 1,9% au lieu de 1,2% au quatrième trimestre de l’année précédente, avec une contribution à la croissance de 0,3 point au lieu de 0,2 point.
De son côté, l’investissement brut (formation brute de capital fixe et variation de stocks) a enregistré une baisse de 1% au quatrième trimestre 2018 au lieu d’une hausse de 8,3% une année auparavant, avec une contribution négative à la croissance de 0,3 point au lieu d’une contribution positive de 2,9 points, durant le même trimestre de l’année précédente.
Contribution positive des échanges extérieurs
Les échanges extérieurs de biens et services, malgré leur ralentissement, ont dégagé une contribution positive à la croissance, se situant à 0,7 point au lieu de 0,2 point le même trimestre de l’année précédente. Les exportations de biens et services ont affiché une hausse de 4,5% durant le quatrième trimestre 2018 au lieu de 14,3%, avec une contribution à la croissance de 1,7 point au lieu de 5,1 points. Les importations, de leur côté, ont connu un accroissement de 2,1% au lieu de 10,5%, avec une contribution négative de (-1) point au lieu de (-4,9) points une année passée.Hausse du besoin de financement de l’économie
Les revenus nets reçus du reste du monde, ayant connue une diminution de 48,6% après une hausse de 48,1% durant le quatrième trimestre 2017, le revenu national brut disponible a vu sa progression baisser à 1,5% au quatrième trimestre 2018 au lieu de 8,2% l’année précédente.Dans ces conditions, avec un accroissement de 4,2% de la consommation finale nationale en valeur au lieu de 3,4% enregistré une année auparavant, l’épargne nationale s’est située à 29% du PIB au lieu de 32%.
Compte tenue de l’investissement brut qui a représenté 35,1% du PIB au lieu de 35,3% durant le même trimestre de l’année précédente, le besoin de financement de l’économie nationale a connu une hausse passant à 6,1% du PIB après avoir été de 3,3% au quatrième trimestre 2017.
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L’indice des prix à la production du secteur des «Industries manufacturières hors raffinage de pétrole» a enregistré une augmentation de 0,3% au cours du mois de février 2019 par rapport au mois de janvier 2019. Cette hausse est la résultante de :
- la hausse des prix de l’«Industrie chimique» de 2,4%, de la «Métallurgie» de 0,7%, de l’«Industrie du papier et du carton» de 0,6%, de l’«Industrie d’habillement» de 0,5% et du «Travail du bois et fabrication d’articles en bois et en liège» de 1,2%;
- la baisse enregistrée dans les «Industries alimentaires» de 0,7%, de la «Fabrication d’équipements électriques» de 0,8% et de la «Fabrication de produits en caoutchouc et en plastique» et de la «Fabrication de produits métalliques, à l’exclusion des machines et des équipements» de 0,3%.
Par ailleurs, les indices des prix à la production des secteurs des «Industries extractives», de la «Production et distribution d’électricité» et de la «Production et distribution d’eau» ont connu une stagnation au cours du mois de février 2019.
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